mardi 21 mai 2013

Un couple de Russes agressé à Mougins

Ce couple de Russes ne pensait certainement pas terminer ainsi la soirée romantique qu'il s'était offerte, dimanche, à Mougins.
C'est en repartant du Clos Saint-Basile, peu avant minuit, que ces deux résidents monégasques ont été agressés sous la menace d'une arme de poing par quatre individus.
Une agression rapide et choquante
Derniers clients de l'établissement, ils se rendaient à leur véhicule, stationné seul sur le parking, lorsque les malfrats ont déboulé en voiture. Cagoulés, ils ont contraint la jeune femme de 38 ans a leur remettre son sac et sa montre de luxe. Une agression rapide et choquante pour les deux victimes.
Alertés par le restaurant, les gendarmes de la brigade de recherche de Cannes et de la brigade territoriale de Mougins se sont immédiatement rendus sur place pour effectuer les premières constatations. L'enquête est en cours.
http://www.nicematin.com/cannes/un-couple-de-russes-agresse-a-mougins.1263203.html

dimanche 19 mai 2013

Sortie de route mortelle

Un accident mortel s'est produit cet après-midi vers 15 heures au niveau du hameau de Raphèle (commune d'Arles). Un véhicule a quitté sa voie de circulation avant d'heurter un platane. Le conducteur, un homme âgé de 89 ans, a été tué sur le coup. Sa passagère, âgée de 75 ans et grièvement blessée, a été transportée à l'hôpital Nord à Marseille.

http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/2362609/sortie-de-route-mortelle.html

vendredi 17 mai 2013

Bordeaux : les restes d'un crâne découverts au cours de travaux

Les travaux venaient de débuter dans cette maison récemment acquise de la rue de Toulon à Bordeaux. Jeudi en fin de matinée , un sac en plastique contenant les os d’'un crâne de petite taille  a été retrouvé dans les combles... entre le mur en pierre et la cloison en Placoplatre.
Le chantier a immédiatement été suspendu pendant que les hypothèses les plus insolites circulaient.

Saisis de cette découverte de cadavre, les policiers se sont rendus sur place. Des prélèvements ont été effectués et examinés par un médecin légiste.
Le mystère a été rapidement levé. Il s'’agissait en fait d’'une reproduction en cire datant de plus de trente ans...

http://www.sudouest.fr/2013/05/17/bordeaux-les-reste-d-un-crane-decouvert-au-cours-de-travaux-1056604-2780.php

Une octogénaire meurt dans un feu d'habitation

Il était environ 8h ce matin quand des voisins ont alerté les sapeurs-pompiers, à Manosque. L'occupante de l'appartement mitoyen, âgée de 86 ans, ne répondait pas aux appels, alors que la fumée s'échappait de son logement. La victime serait décédée des inhalations de monoxyde de carbone causées par un incendie d'origine accidentelle, provenant sans doute d'un chauffage d'appoint.

http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/2359133/une-octogenaire-meurt-dans-un-feu-dhabitation.html

Enfant blessé/Gard: un homme se rend

Un homme doit être déféré demain au parquet de Nîmes dans l'affaire du garçonnet de quatre ans blessé par balle lors d'une rixe entre deux familles tziganes sur la commune, a-t-on appris aujourd'hui de source proche de l'enquête.

Cet homme s'était livré au commissariat mercredi soir et a passé la journée  en garde à vue, a-t-on précisé de même source. Selon le parquet, un vol de caravane dans les Bouches-du-Rhône serait à l'origine de la rixe qui a dégénéré. Dans la nuit de mardi à mercredi, la famille de l'enfant, des tziganes serbes, s'est présentée sur une propriété à Nîmes, où se trouvaient deux hommes, pour exiger la restitution de la caravane. Après une discussion houleuse, l'un d'eux a sorti une carabine et tiré sur le véhicule de la famille qui prenait la fuite, l'une des balles atteignant le garçonnet à la tête.

Le projectile a été extrait lors d'une opération mercredi à l'hôpital de La Timone à Marseille, où l'état de l'enfant n'inspirait plus de craintes.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/05/16/97001-20130516FILWWW00776-enfant-blessegard-un-homme-se-rend.php

jeudi 16 mai 2013

Besançon : Carrefour Chalezeule cambriolé

Avec l’audace plus probable des amateurs que celle de cambrioleurs aguerris, au moins deux individus se sont attaqués à l’hypermarché Carrefour de Chalezeule et à sa galerie commerciale, au cours de la nuit de mardi à mercredi.
Après avoir testé plusieurs portes possibles qu’ils ont trouvées trop solidement cadenassées ou blindées, les casseurs ont réussi à forcer celle d’un salon de coiffure, qu’ils ont retourné en priorité mais sans y dénicher un quelconque butin.

Quatre cibles, deux succès

Il est aux environs de 3 h du matin lorsque le casse débute. Les malfrats poursuivent leurs investigations à l’intérieur du centre commercial, un peu à l’aveuglette. Ils commencent par y forcer, cette fois avec succès, deux caisses automatiques, sur lesquelles les clients peuvent payer en liquide. On ne connaît pas le montant de ce premier préjudice subit par le magasin Carrefour.
Encouragés, ils continuent leur périple en visant le « Manège à bijoux » sur lequel ils font chou blanc mais réussissent avec un minimum de bonne volonté à en déclencher l’alarme silencieuse, reliée à une société de surveillance extérieure.
Marris par ce nouvel échec, les malfrats se concentrent alors sur le rayon électronique de la grande surface où ils vont faire une razzia sur le matériel informatique et photographique. C’est apparemment au moment où ils effectuent leur second aller et retour qu’un vigile de la société de surveillance arrive, les surprend des sacs rebondis au bout des bras et les mets en fuite.
Les deux hommes, vêtus à la façon traditionnelle des quartiers, grosse doudoune et pantalon de survêtement noir sur chaussettes blanches, réussissent cependant à s’évaporer avec leur butin qui avoisinerait les 10.000 € en matériels divers, dont la côte « tombée du camion » est infiniment moindre.
Les enquêteurs, qui ont rapidement entamé leurs recherches, pensaient dès hier matin pouvoir faire un premier lien avec une voiture retrouvée incendiée à hauteur du 120 rue de Chalezeule, vers 4 h du matin.

http://www.estrepublicain.fr/doubs/2013/05/16/carrefour-chalezeule-cambriole

mercredi 15 mai 2013

Beuvry : un bus en feu devant le collège Debeyre

Un bus a pris feu ce mercredi matin, vers 8 heures, devant le collège Albert-Debeyre à Beuvry, près de Béthune. Aucun passager ne se trouvait à bord et la conductrice n’a pas été blessée. Mais le feu a totalement détruit le véhicule malgré l’intervention des pompiers, sous les yeux des élèves qui arrivaient en cours.
La conductrice d’un bus scolaire arrivait au collège Albert-Debeyre, à Beuvry, quand on l’a alertée que de la fumée s’échappait du moteur à l’arrière. Elle est aussitôt sortie du bus, un autre chauffeur est arrivé avec un extincteur mais le feu a vite pris de l’ampleur et a gagné tout l’arrière du véhicule. Rapidement alertés, les pompiers de Béthune et Nœux voyaient déjà l’important nuage de fumée bien avant d’arriver sur place.
Le bus s’embrasant juste devant l’établissement scolaire et le vent poussant la fumée vers les bâtiments, l’équipe pédagogique a fermé portes et fenêtre et mis les élèves qui arrivaient en cours à l’écart, pendant que les soldats du feu éteignaient les flammes. Le bus de la société Tadao a malgré tout été entièrement détruit. Aucune victime n’est à déplorer, aucun élève ne se trouvait dans le bus et la conductrice n’a pas été incommodée par la fumée. Vers 10 heures, le garage Ratel était toujours sur place pour enlever l’épave du bus

http://www.lavoixdunord.fr/region/beuvry-un-bus-en-feu-devant-le-college-debeyre-ia30b0n1251017

Auch. Une camionnette heurte un poids lourds sur la rocade

La RN 124 a été fermée sur la commune d'Auch hier matin, vers 5 h 20. En cause, un accident de la circulation impliquant deux véhicules intervenu à hauteur du stop situé à proximité de l'hôtel Ibis et du rond-point des Justes. Selon les éléments recueillis sur place par les policiers du commissariat d'Auch, le conducteur d'une camionnette transportant des matières isolantes n'aurait pas respecté l'arrêt permettant d'emprunter la rocade. Ce dernier a heurté un semi-remorque de 44 tonnes, qui lui, transportait de la nourriture. Intervenus sur place, les pompiers et les policiers d'Auch n'ont constasté aucun blessé. La circulation a de nouveau été autorisé vers 6 heures.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/05/15/1626812-auch-une-camionnette-heurte-un-poids-lourds-sur-la-rocade.html

mardi 14 mai 2013

Biarritz : un incendie ravage un squat à Saint-Charles

L'alerte a été donnée vers 13 h 30. Des riverains ont vu des flammes et une épaisse fumée s'échapper du toit d'une maison située au 14 rue Albert 1er, dans le quartier Saint-Charles de Biarritz. Les sapeurs-pompiers du BAB sont intervenus immédiatement sur place avec d'importants moyens: deux fourgons pompe-tonne et une grande échelle, ainsi que des véhicules de secours aux blessés et asphyxiés. Personne n'était dans les lieux et n'aurait été blessé.
Le quartier a été également investi par de nombreuses forces de Police Nationale, des CRS ainsi que des policiers municipaux.Il est vrai que la maison qui a été touchée par le sinistre est défavorablement connue. Abandonnée et négligée par ses propriétaires depuis plusieurs années, suite à un conflit de succession, elle abrite des SDF et des jeunes, qui profitent du squat.

Tous ces occupants ne sont pas toujours très calmes. Des enquêteurs de la Police Nationale ont entrepris de rechercher des témoins et devront déterminer les causes du sinistre, probablement accidentelles. Une dame qui habite la rue a vu ces derniers jours pas mal d'activité dans la maison. Les squatteurs y entreposaient des vêtements et effets personnels et toutes sortes d'objets, bouteilles, etc.
Ces compagnons d'infortune cuisinaient également dans des conditions sommaires, sans életricité, ni gaz. Un feu de cheminée mal éteint ou une cigarette jetée dans un tas de papiers, tissus ou bois ont très bien pu également amorcer le feu.

http://www.sudouest.fr/2013/05/14/biarritz-un-incendie-ravage-un-squat-a-saint-charles-1053557-4037.php

Disparition inquiétante : enquête dans l'univers familial de Daniel

Un peu plus de quarante-huit heures après l'incendie qui a ravagé une partie de l'habitation de Daniel Sobol, un sexagénaire domicilié à Contescourt, les gendarmes de la compagnie de Saint-Quentin poursuivent leurs investigations pour retrouver le propriétaire.
On sait que l'homme vivait seul, au 10 rue de la Cité. Samedi après-midi, selon plusieurs témoins, Daniel Sobol, s'est mis au volant de sa Clio rouge. Quelques instants plus tard, les flammes commençaient à dévorer l'intérieur de son domicile. En fin de journée, la Clio était retrouvée non loin du canal de Saint-Quentin, à proximité du RD 32. Depuis, le retraité n'est pas réapparu.
Trois pistes
Qu'est-il arrivé à Daniel Sobol ? Pourquoi ce retraité des établissements La Couronne (Saint-Quentin) laisse t-il son entourage sans nouvelle ? Le sexagénaire a t-il attenté à ses jours ? « Nous travaillons sur toutes les pistes », confie l'adjoint au commandant de la compagnie de Saint-Quentin, le capitaine Jean-Mars Rozé. Toutes les pistes et notamment celle d'un suicide, d'un meurtre ou d'une simple fugue. « C'était quelqu'un qui ne cherchait pas querelle », assure un voisin. « Avec lui, c'était bonjour, au revoir ».
Daniel Sobol est d'origine polonaise. C'est un homme corpulent d'1,60 m aux cheveux bruns. Le logement qu'il occupait samedi encore était la maison familiale jusqu'au décès de ses parents, dans les années 80. C'est là que Daniel et son frère ont vécu, au 10 rue de la Cité. « Lorsque les parents sont disparus, Stanislas a acheté l'autre moitié de la maison, le 12. Au début, il n'en faisait rien. Et puis il s'est mis en ménage et s'est installé dans cette autre partie », explique un habitant de la commune. Stanislas a aujourd'hui deux filles. Il est lui aussi retraité de La Couronne.
« Comme d'habitude »
Nul ne l'ignore à Contescourt : Daniel, le disparu, et son frère étaient en conflit. « Daniel adore les chats. Il pouvait en avoir vingt. Il avait aussi des grands arbres. Son frère ne le supportait pas. Il y a eu quantité de plaintes à ce propos », témoigne un élu. « C'est un vieux garçon. Il avait ses habitudes. Samedi, on a cru qu'il partait faire ses courses, comme d'habitude », confie encore une voisine.
Au 12, dans la maison mitoyenne, l'épouse de Stanislas Sobol fuit les curieux. « On nous a dit de ne rien dire », concède-t-elle. « Il y en a qui ont déjà écrit n'importe quoi ! ». L'absence de Daniel reste pour l'instant mystérieuse. Des traces de sang auraient été retrouvées non loin de son véhicule, près du canal. Le sang du disparu ?

http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/disparition-inquietante-enquete-dans-lunivers-familial-de-daniel

Troisième blocage à la prison de Douai

Une vingtaine de personnes bloquaient ce matin les entrées et sorties à la maison d'arrêt de Douai (Nord) pour dénoncer la suppression des miradors en 2014, annonce les syndicats.

A l'origine, le syndicat FO pénitentiaire avait prévu de manifester devant le palais de justice de Douai, mais s'est finalement rabattu sur la distribution de tracts dans les rues en raison de la faible mobilisation, a expliqué Laurent Lefebvre, délégué local FO. "Mais lorsque nous nous sommes dirigés vers le rond-point où nous voulions distribuer les tracts, nous avons été gazés par les gendarmes. Nous avons donc décidé de bloquer la maison d'arrêt, ce qui n'était pas prévu au départ", a précisé M. Lefebvre.

A l'inverse, la gendarmerie affirme avoir dû utiliser une "petite bombe lacrymogène" car les grévistes refusaient de laisser passer un détenu devant être présenté à un magistrat. L'accès aux parloirs n'est cependant pas bloqué.

Le syndicaliste s'est dit déçu du peu de mobilisation: "tout le monde crie mais quand il faut passer à l'acte, personne ne bouge".

La direction de la prison n'a quant à elle pas souhaité s'exprimer.

Les travaux destinés à pallier la suppression à Douai des miradors, -- mise en protection du chemin de ronde, filets anti-projection, rénovation des murs avec système de caméras --, qui doivent commencer bientôt, ne satisfont pas le syndicat FO pénitentiaire.

Deux autres blocages de la maison d'arrêt ont eu lieu en avril, dont l'un après l'évasion spectaculaire de Redoine Faïd de Sequedin, autre prison du département.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/05/14/97001-20130514FILWWW00338-troisieme-blocage-a-la-prison-de-douai.php

lundi 13 mai 2013

Saint-Etienne : un Petit Casino braqué par deux filles mineures

Selon le parquet de Saint-Etienne, ce sont deux jeunes filles de 17 ans qui ont braqué à visage découvert un Petit Casino vendredi peu après 18 heures dans le quartier de La Terrasse à Saint-Etienne.
L’une des deux mineures, armée d’un couteau et d’un pistolet d’alarme, a menacé le gérant qui était à sa caisse, alors qu’une seule cliente était présente dans le magasin à ce moment-là. Le gérant a réussi à la maîtriser tandis que sa femme, qui était jusqu’alors dans l’arrière-boutique, appelait les secours.
La braqueuse présumée a été placée en centre éducatif renforcé. Sa complice, qui avait pris la fuite mais avait été interpellée le lendemain, a été placée sous contrôle judiciaire

http://www.leprogres.fr/loire/2013/05/13/saint-etienne-un-petit-casino-braque-par-deux-filles-mineures

Carhaix. Une roquette découverte dans une benne à ordures

Les éboueurs de Carhaix ont fait une drôle de découverte ce matin. Dans une benne à ordures de la place du Champ de foire, en centre-ville, se trouvait une roquette.
Les éboueurs ont trouvé la roquette cachée dans un sac plastique, intrigués par le bruit de l’engin. Une roquette est une arme de guerre, une fusée autopropulsée généralement utilisée dans les combats au sol, dans des lance-roquettes.
A priori inoffensive
Tout de suite alertés, les gendarmes sont venus inspecter la trouvaille. « À première vue, il s’agit d’une roquette d’exercice, en plâtre et inoffensive. On le voit car elle est peinte en bleu », indique la gendarmerie. Les trois séries de balles trouvées à côté sont elles aussi des balles à blanc, sans danger.
Par mesure de sécurité, la gendarmerie reste pour le moment sur les lieux, le temps d’obtenir un avis officiel de la préfecture. Impossible encore de dire comment cette arme - aussi inoffensive soit-elle - s’est retrouvée dans une poubelle du centre-ville.
 

Béligneux : un bar victime deux fois d’un incendie en deux jours

Le bar de nuit Le Fuego, anciennement la Taverne, situé route de Genève à la Valbonne sur la commune de Béligneux, a été l'objet de deux incendies dans la nuit de jeudi à vendredi puis dans la nuit de samedi à dimanche.
Le bar avait été victime d’un incendie dans la nuit de jeudi à vendredi, endommageant une partie de la toiture. Selon les constatations des gendarmes, l’incendie était manifestement volontaire, des tuiles ayant été enlevées et le départ de feu s’étant produit au niveau du faux plafond.

Un nouvel incendie s’est produit samedi vers 4h30, à l’intérieur du bar cette fois, dont l’intérieur a été en grande partie ravagé par les flammes. On ne connaissait pas encore ce matin l’origine de ce nouvel incendie


http://www.leprogres.fr/ain/2013/05/12/beligneux-un-bar-victime-deux-fois-d-un-incendie-en-deux-jours

dimanche 12 mai 2013

Une femme tente d'enlever un nourrisson

Une habitante de Monchy-Lagache a éprouvé une grande surprise le 2 mai dernier… Aux alentours de 9 h 30, la jeune mère âgée de 20 ans résidant dans un logement à proximité du centre-ville a quitté la chambre de son bébé âgé de 4 mois pour faire du ménage. Lorsqu'elle repasse devant la pièce, elle aperçoit alors une personne tenant son enfant dans les bras.
Lorsque cette dernière constate la présence de la maman, elle repose l'enfant dans son berceau et s'enfuit. « Nous n'avons trouvé aucune trace d'effraction », développe la gendarmerie de Péronne. Celle-ci participe en effet aux investigations menées depuis maintenant une semaine sous la direction de la gendarmerie de Ham. « Une trentaine de militaires sont mobilisés et travaillent d'arrache-pied pour retrouver l'auteur des faits. Les hommes réalisent un travail de porte à porte et de renseignement pour recueillir toute information susceptible de retrouver la personne concernée », précisent les autorités. Dans le cadre de cette enquête, la gendarmerie recherche tout témoignage de personnes qui auraient pu apercevoir une femme âgée de 35 à 50 ans - 1 mètre 60/70 - corpulence mince, cheveux blonds décolorés - châtains clairs avec queue de cheval - teint pâle - fumeuse - vêtue au moment des faits d'une veste noire à capuche et portant des gants en laine bleue. Cette personne serait susceptible de se déplacer avec un cyclomoteur ancien. Tout renseignement concernant cette affaire pourra être communiqué à la Gendarmerie de Ham (80) au 03 22 98 34 17 tous les jours de la semaine.

http://www.aisnenouvelle.fr/article/faits-divers-justice/une-femme-tente-denlever-un-nourrisson

Le château de Tilloy-lès-Conty ravagé par les flammes

Le château de Tilloy-lès-Conty, un village situé au sud d'Amiens, a pris feu ce dimanche matin. Les pompiers y passeront toute la journée, les dégâts sont très importants
Le feu a été très violent et a dévoré le toît et l'intérieur du château. personne n'a été blessé.
L'alerte a été donnée ce dimanche vers 6h40 par un sapeur pompier qui se rendait à la caserne d'Amiens pour prendre sa garde. L' homme a vu une colonne de fumée s'échapper de la toiture et a prévenu les trois occupants de la grande bâtisse qui date de la fin XXIIIe,

Feu très violent

Les pompiers de Conty étaient les premiers sur place, quelques minutes plus tard, mais le plancher du grenier était déjà tombé.
Très rapidement, les 250m² de toiture sont partis en fumée.
Trois lances et trois grandes échelles ont été déployées. Une quarantaine de pompiers, venus d'Amiens notamment, étaient sur le terrain ce dimanche matin.

L'opération durera toute la journée

L'extinction du feu est rendue compliquée par la quantité importante de bois et de torchis à l'intérieur du château. Les flammes ont ainsi pu se propager du haut vers le bas, grignotant tout entre les murs de pierre. Les pompiers prévoyaient ce dimanche matin d'arroser la bâtisse toute la journée, le vent important favorisant la reprise des nombreux poit chaud qui subsistent.

Un court circuit évoqué

Selon les premiers éléments de l'enquête, un court circuit au niveau du grenier pourait être à l'origine du sinistre. La famille Beauvillé a acquis ce château il y a une dizaine d'année environ.
Cette bâtisse, ancien fief des seigneurs de Croÿ n'est pas un monument classé, elle est néanmoins inscrite au patrimoine français.

http://www.courrier-picard.fr/region/le-chateau-de-tilloy-les-conty-ravage-par-les-flammes-ia0b0n78872

Bressols. Éva, 13 ans, victime du mortel jeu du foulard

C'était une jolie adolescente de 13 ans, scolarisée dans le collège Jean-Jaurès à Villebourbon. Elle a été enlevée à l'affection de toute sa famille jeudi en fin de soirée comme nous le révélions dès hier de la plus terrible des façons qui soit,en périssant asphyxiée suite à ce terrible jeu dit du foulard. Ce jeudi pluvieux de l'Ascension s'achève. Dans un petit pavillon d'un lotissement non loin du centre de Bressols la famille regarde la télé. Eva un des trois enfants du couple se lève et rejoint sa chambre au rez-de-chaussée qu'elle partage avec sa petite sœur d'un an sa cadette pour achever les devoirs car le lendemain (hier) il y avait cours au collège. Au bout d'un certain temps, n'entendant plus de bruit, la maman qui est infirmière se lève et va voir ce qui se passe dans la chambre.

L'autopsie confirme la mort par asphyxie

Avec effroi elle découvre sa fille cyanosée au bas du montant d'un double lit superposé aux armatures métalliques, un foulard accroché. Elle donne aussitôt l'alerte en direction des sapeurs-pompiers et du SAMU 82 et, en attendant leurs arrivées, pratique des massages cardiaques et respiratoires sur le corps de sa fille. La médecin du SAMU prend le relais mais vers 19 heures le pire devient totalement réalité. La jeune fille ne peut-être ramenée à la vie. Le décès est constaté et le corps est transporté à l'institut médico-légal de Toulouse-Rangueil pour une autopsie. Celle-ci est effectuée hier matin. L'examen du corps confirme la mort par asphyxie et la dépouille est rendue à la famille dans la journée.

Cellule psychologique au collège Jean-Jaurès dès lundi matin

Dans le collège de Montauban, dès lundi matin une cellule psychologique sera mise en place pour la classe de quatrième dans laquelle Eva était scolarisée. Mais ce n'est pas que la trentaine de camarades d'études de l'adolescente qui sera dirigée vers cette cellule. Les autres sections de quatrième le seront aussi. Car depuis hier matin, via facebok et les réseaux sociaux, nombre de collégiens savent que le pire est arrivé. Ce pire qui depuis le début des années 2000 se solde par au moins un mort d'adolescent chaque mois rien qu'au travers du jeu du foulard. Dont la pratique la plus nocive se situe dans les cours de récréation et hélas parfois aussi au domicile. Jeudi soir, pourtant rien ne laissait entrevoir que ce jeu allait être testé de la plus horrible des façons par une jeune fille de 13 ans juste derrière la cloison de la salle de séjour où toute la famille était réunie.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/05/11/1623424-eva-13-ans-nouvelle-victime-du-mortel-jeu-du-foulard.html

samedi 11 mai 2013

Marseille : deux prostituées accusent un homme d'enlèvement

Un employé de préfecture à Marseille était en garde à vue samedi dans les Pyrénées-Orientales après avoir été accusé par deux prostituées d'un enlèvement qu'il dément.
Un employé de préfecture à Marseille était en garde à vue samedi dans les Pyrénées-Orientales après avoir été accusé par deux prostituées d'un enlèvement qu'il dément, selon une source judiciaire.
L'homme a été interpellé samedi après avoir franchi la frontière en voiture, avec à son bord deux prostituées qu'il avait fait monter à la Jonquère, une ville située du côté espagnol de la frontière qui s'est fait un nom pour le tourisme sexuel, surtout chez les voisins français.
Les prostituées ont semble-t-il réussi à donner l'alerte et ont déclaré aux enquêteurs français que l'homme leur avait fait franchir la frontière contre leur gré. Ce dernier a été interpellé puis placé en garde à vue.
Il dément toute tentative d'enlèvement et dit avoir été victime d'un malentendu avec les prostituées, selon une source judiciaire. L'homme explique avoir proposé à celles-ci de consommer la transaction dans un hôtel français mais s'être rendu compte trop tard qu'elles n'avaient pas compris qu'il comptait leur faire franchir la frontière.