lundi 16 mai 2016

Escroquerie à la sécurité sociale : 2 médecins et une secrétaire médicale mis en examen

 

mardi 10 mai 2016

Couple retrouvé mort à Brantôme (24) : le conducteur victime d'un malaise

L'octogénaire britannique décédé avec son épouse vendredi avait perdu le contrôle de sa voiture, qui a plongé dans la Dronne
Vendredi, un couple de Britanniques de 86 et 84 ans installé à Paussac-et Saint-Vivien est mort dans sa voiture dans la Dronne, après une fatale sortie de route au lieu-dit La Côte à Brantôme.
L'examen de corps pratiqué ce week-end sur les victimes laisse supposer que l'octogénaire au volant a été victime d'un malaise cardiaque ou neurologique avant de perdre le contrôle de son véhicule.

Résidence secondaire

Richard et Mary Lucas avaient acquis une résidence secondaire à Paussac-et-Saint-Vivien il y a plus de vingt ans et y séjournaient deux à trois mois par an. « Ils étaient très appréciés de leur voisinage et ne manquaient pas de participer aux manifestations organisées dans la commune », commentait lundi le maire, Jean-Pierre Desvergne.
Celui-ci a pu rencontrer les fils des victimes, venus spécialement à l'annonce du drame. Selon eux, Richard Lucas avait subi une visite médicale peu de temps avant de venir en France, afin de renouveler son autorisation de conduire pour trois ans, une procédure obligatoire en Grande-Bretagne à partir de 70 ans. Aucun problème n'avait été diagnostiqué.
Les corps des deux Britanniques devraient être rapatriés ce mardi en Angleterre pour y être inhumés.
http://www.sudouest.fr/2016/05/10/brantome-24-le-conducteur-victime-d-un-malaise-2357464-1755.php

lundi 9 mai 2016

Ivre, il percute la voiture d'une femme enceinte à Revin

Dans la nuit de samedi à dimanche, aux alentours de deux heures du matin, un accident de la circulation s’est produit sur le pont de Fumay à Revin. Un Revinois d’une trentaine d’années, fortement alcoolisé, circulait à vive allure dans le sens Fumay-Revin. À bord du véhicule, se trouvaient ses deux jeunes enfants.
L’homme aurait d’abord perdu le contrôle de sa voiture avant de venir percuter le trottoir du virage situé à l’entrée du pont. Le trentenaire a continué sur sa trajectoire et a fini par emboutir un véhicule, conduit par une femme enceinte, qui circulait en sens inverse sur le pont. Choquée, la victime a bénéficié de cinq jours d’ITT (incapacité totale de travail). Le chauffard s’est d’abord arrêté, puis, n’estimant probablement pas les pourparlers à son goût, il est remonté à bord de son véhicule avant de repartir sans qu’aucun constat n’ait été dressé.
Sa course ne sera toutefois pas très longue, puisqu’il a rapidement été intercepté par les gendarmes de Revin, non loin de là, dans la rue Gambetta alors qu’il tentait vraisemblablement d’abandonner sa voiture. Lors de son interpellation, l’individu a opposé de la résistance aux militaires, blessant d’ailleurs l’un d’eux au doigt. Refusant de se soumettre au test d’alcoolémie, une prise de sang a été effectuée. Placé en garde à vue, l’homme a été relâché hier soir et sera prochainement convoqué par la justice
http://www.lunion.fr/node/720695

Il cambriole chez un ancien policier bordelais de 80 ans... qui le prend en chasse

Âgé de 80 ans, le policier à la retraite n'a pas hésité à poursuivre son cambrioleur, qui a finalement été interpellé
L'homme s'était introduit dans la maison par la baie vitrée. Avant de tomber nez-à-nez avec le propriétaire, un ancien policier bordelais de haut rang, aujourd'hui à la retraite. Le retraité âgé de près de 80 ans ne s'est pas laissé impressionner et s'est lancé à la poursuite du voleur.
Celui-ci a enfourché un scooter. Mais le vieil homme a réussi à déséquilibrer le deux-roues. L'homme a finalement été interpellé par la police. Il devrait être jugé ce lundi dans le cadre d'une procédure de comparution immédiate. 
http://www.sudouest.fr/2016/05/08/il-cambriole-chez-un-ancien-policier-qui-le-prend-en-chasse-2355193-2780.php

samedi 7 mai 2016

VOSGES Un Amiénois dans un état grave après un accident d’autogire à Gérardmer

Un autogire s’est écrasé ce vendredi en fin de matinée sur les hauteurs de Gérardmer, rapporte Vosges matin. Dans l’appareil, deux hommes ont été gravement blessés.
L’un d’eux est un médecin ORL d’Amiens âgé d’une cinquantaine d’années. Resté prisonnier de la carcasse de l’appareil, il a été plus gravement touché que le pilote. Devant la gravité de ses blessures, il a été décidé d’hélitreuiller l’Amiénois grâce à l’intervention du Dragon 67. Soignée un long moment sur le stade à bord de l’hélicoptère, la victime inconsciente a ensuite été héliportée et admise à l’hôpital de Colmar.
Selon Vosges matin, il semblerait que les deux hommes (un Belge et un Français) prenaient des photos aériennes du lac et ses environs. Ils avaient décollé de l’aérodrome de Remomeix et devaient atterrir à Belfort. Pour l’heure, les circonstances de l’accident ne sont pas connues. Les deux hommes ont-ils été distraits ou victimes d’une avarie au niveau de l’appareil ? L’enquête le déterminera.
http://www.courrier-picard.fr/region/vosges-un-amienois-dans-un-etat-grave-apres-un-accident-ia201b0n772594

Charente : il croise par hasard son ancien propriétaire et le frappe au visage

L'homme n’avait pas supporté d’être poursuivi en justice par son ex-propriétaire en 2014.
Frédéric, 28 ans, a la rancune tenace. Quand en septembre 2014, le tribunal correctionnel d'Angoulême l'a condamné à s'acquitter de ses loyers impayés et à rembourser les dégradations commises dans le domicile de son propriétaire à hauteur de 2963,17 €, Frédéric a vu rouge. Alors quand mercredi, par hasard, il croise à Champagne-Mouton son ex-propriétaire âgé de 71 ans, son sang n'a fait qu'un tour. « Vous vous êtes jeté sur lui, vous l'avez insulté, frappé de dix coups de poings au visage et vous lui avez exigé d'écrire une attestation comme quoi il retirait sa plainte et renonçait au 3 000 euros que vous lui deviez », rappelle le président du tribunal vendredi, lors de son audience en comparution immédiate.

En récidive

Frédéric a aussi un sens aigu des termes de violences. Il n'a pas mis des coups de poing mais « des calottes ». Calottes qui ont tout de même étourdi le septuagénaire qui s'est vu prescrire quatre jours d'ITT. « Ce n'était pas du tout prémédité. Je regrette. Faut que je me fasse soigner pour mes nerfs. »
Ses nerfs, ils ont souvent lâché. Déjà en 2012, lorsqu'il avait détruit le bien d'autrui par représailles. Son casier fait état de dix mentions. C'est donc dans le cadre de la récidive légale qu'il comparaissait hier. « J'ai eu de mauvaises fréquentations. Maintenant, j'ai ma petite famille, promet-il. En prison, ce n'est pas ma place. Je préfère être dehors. » La procureur, elle, juge la « justice du plus fort » et requiert dix mois de prison dont cinq avec sursis. Le tribunal l'a condamné à six mois dont cinq avec sursis, mise à l'épreuve pendant deux ans, obligation de soins et interdiction d'entrer en contact avec son ex-propriétaire. Ce dernier, absent lors de l'audience, ne s'était pas porté partie civile et ne réclamait aucun dédommagement financier. Sans rancœur...
http://www.sudouest.fr/2016/05/07/le-locataire-violent-un-mois-en-prison-2354084-813.php
 

vendredi 6 mai 2016

Hauts-de-Seine: Nouveau règlement de compte dans la cité du Petit-Colombes

Jeudi peu avant 17h30, une fusillade a éclaté dans le quartier sensible du Petit-Colombes à Colombes dans les Hauts-de-Seine. Les coups de feu ont été tirés de l’intérieur d’une voiture venant du boulevard Charles-de-Gaulle où elle circulait à vive allure avant de ralentir au croisement avec la rue des Côtes d’Auty, à hauteur d’un petit groupe d’homme.

« Ils ont vraiment arrosé »

Là, la vitre s’est baissée et plusieurs détonations ont retenti, rapporteLe Parisien. Trois hommes tombent à terre. Ils sont emmenés peu après au centre hospitalier de Colombes, non loin de là, sans que leurs jours soient en danger. Les tireurs auraient utilisé un pistolet et, « au vu du nombre de douilles qui ont été retrouvées au sol, ils ont vraiment arrosé », commente une source proche du dossier cité par Le Parisien.
Ces tirs s’ajoutent à la liste des règlements de compte qui ont frappé à plusieurs reprises le Petit-Colombes, haut lieu du trafic de drogue. En septembre 2013 Manuel Valls, alors ministre de l’Intérieur, avait classé le quartier en zone de sécurité prioritaire (ZSP).
http://www.20minutes.fr/dossier/faits_divers

Vosges : deux blessés graves dans un crash d'ULM

Un crash d’ulm s'est produit ce vendredi 6 mai 2016, peu avant midi près de Gerardmer dans les Vosges, à proximité d’un site bien connu des randonneurs, près de l’observatoire de Mérelle.

Deux personnes, âgées d'une cinquantaine d'années, étaient à bord de l’appareil. Elles sont grièvement blessées et polytraumatisées. Elles prenaient des photos du lac de Gerardmer, situé à proximité de l'observatoire, lorsqu'elles se sont crashées.

Entre 25 et 30 sapeurs-pompiers et gendarmes sont sur place. L’endroit du crash, très boisé, va nécessiter une intervention par hélicoptère.

L’identité des deux hommes n’est pas encore connue. Ils ont été pris en charge, peu avant 14 heures, au CHU de Nancy et de Colmar.

L'altitude de vol apparemment trop basse serait à l'origine de l’accident.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/lorraine/vosges

jeudi 5 mai 2016

Allanche : un premier corps calciné retrouvé dans les décombres

Depuis lundi, un couple de clermontois avait disparu après l'incendie de sa maison à Maillargues, un petit hameau de la commune d'Allanche, dans le Cantal. La demeure en pierre du XIXe siècle avait été entièrement détruite sous la violence de l'incendie et les pompiers, alertés par un voisin à 5 heures du matin, n'avaient pu que constater les dégâts et éviter la propagation des flammes.

Depuis, les brigades de recherche et les techniciens en identification criminelle de la gendarmerie d'Aurillac recherchaient dans les décombres une preuve de la présence ou non du couple de propriétaire sur les lieux au moment du drame. Et c'est cette preuve qui a été découverte mercredi après-midi, notamment grâce à la présence d'une équipe cynophile venue en renfort du Lot.

Un premier corps calciné a donc été trouvé. Il a été transféré à l'institut médico-légal de Clermont-ferrand pour identification. L'enquête reste néanmoins ouverte, et les investigations continuent pour retrouver la seconde dépouille, mais aussi pour découvrir les causes de cet incendie, puisque, pour l'instant, aucune piste n'est écartée.

L'hypothèse selon laquelle le couple de clermontois avait été enseveli dans l'effondrement de la maison était privilégiée par les enquêteurs depuis le début de l'affaire. Les propriétaires, un couple de clermontois tombé amoureux du coin avait acheté cette résidence secondaire il y a à peine 6 mois pour pouvoir venir y pêcher le week-end. Depuis lundi, ils n'avaient donné aucune nouvelle, étaient injoignables, et surtout, leur véhicule était toujours stationné dans le garage juste en face de la maison.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne/cantal