jeudi 4 juillet 2013

Trafic d'armes à Marseille : six personnes interpellées, dont deux militaires

Six personnes dont deux militaires ont été interpellées lundi et plusieurs pistolets-mitrailleurs saisis dans la région de Marseille, a-t-on appris jeudi auprès du parquet.

Ces interpellations sont le fruit de plusieurs mois d'enquête sur un trafic d'armes. Six personnes, dont deux militaires d'active, ont été interpellés jeudi matin à Marseille, a-t-on appris auprès du parquet. Des armes ont également été saisies, dont 14 pistolets-mitrailleurs Scorpio. Le procureur de la République tiendra un point presse dans l'après-midi.

http://lci.tf1.fr/france/faits-divers/trafic-d-armes-dans-la-region-de-marseille-six-personnes-interpellees-8096902.html

mercredi 3 juillet 2013

Un chauffeur de bus agressé et un autre en garde à vue

Ces deux derniers jours ont été animés dans la société de bus Ametis. Lundi, un chauffeur a été pris à partie par un individu en possession d'une arme de poing. Le lendemain, mardi, un autre chauffeur s'est retrouvé en garde à vue suite à un comportement dangereux au volant, qui lui a d'ailleurs valu un accrochage avec un véhicule. Selon le procureur, « il y a de fortes présomptions de conduite sous emprise de produits stupéfiants ».

Deux faits pour lesquels aucune information n'a, pour l'instant, filtré du commissariat de police. Du côté du personnel de la société de transport, là encore, c'est le silence radio. Le premier incident s'est produit, lundi vers 13 h 30, sur la ligne 3 dans le secteur du collège Guy Maréchal. Un chauffeur de bus a eu un différend avec un automobiliste. Le ton est monté et ce dernier a sorti une arme de poing qu'il n'a heureusement pas utilisé. Le chauffeur de bus, pris à partie, a été déposé plainte lundi après-midi.

Hier matin, vers 10 h 30, des usagers du bus ont eu une belle frayeur après qu'un chauffeur a perdu le contrôle de son véhicule dans le quartier Saint-Maurice. Au final, le bus a accroché une voiture. L'accident n'a fait aucune victime. Les services de police sont intervenus quelques instants après la collision.
 

« Des clients inquiets de sa conduite »
 

Le chauffeur de bus, âgé d'une trentaine d'années, a été ramené au commissariat où il a été placé en garde à vue. « Un certain nombre de clients ont été inquiets par le comportement et la conduite du chauffeur avant même l'accrochage. Il ne semblait pas dans un état normal », souligne le directeur d'exploitation de la société de transport, M. Duval. Ce dernier nous confirmant que le chauffeur était toujours dans les locaux du commissariat, hier après-midi. « Son cas est entre les mains de la police et de la justice », a-t-il confié, se refusant à tout autre commentaire. Hier en fin de journée, le procureur a confirmé le placement en garde à vue du chauffeur de bus. D'après ses dires, il y a de fortes chances que son écart de conduite soit lié à la prise de produits stupéfiants.
http://www.courrier-picard.fr/region/un-chauffeur-de-bus-agresse-et-un-autre-en-garde-a-vue-ia167b0n126022

Brunerie soupçonné de violences sur sa compagne

Maxime Brunerie fait de nouveau parler de lui. Aujourd'hui âgé de 36 ans, celui qui avait essayé de tuer Jacques Chirac le 14 juillet 2002, a été interpellé "il y a une quinzaine de jours" et "placé en garde-à-vue au commissariat de Gennevilliers", dans les Hauts-de-Seine, selon les informations de RTL mercredi matin.
Soupçonné de violences sur sa compagne, Maxime Brunerie a été mis en examen selon RTL. Remis en liberté, il a été placé sous contrôle judiciaire.
 

Lunel : sept personnes évacuées du centre commercial où un braqueur semble retranché

Un homme, qui aurait tenté de braquer un commerce dans le centre des Portes de la Mer à Lunel en début de soirée, serait toujours retranché à l'intérieur. Sept employés, restés cachés à l'intérieur du magasin, ont été exfiltrés peu après 23 heures par le Groupe d'intervention 2e génération d'Orange.
Un braqueur s'est retranché dans la galerie du centre commercial des Portes de la mer à Lunel, ce mardi soir, vers 20 h 45. Ce centre commercial, qui abrite un Intermarché, est situé à l'entrée de Lunel, au bord de la RN 113. Les gendarmes de Lunel sont rapidement arrivés sur place. Ils ont établi un périmètre de sécurité. Plusieurs personnes ont été évacuées mais sept employés du magasin étaient restés cachés à l'intérieur.
Evacuation de sept personnes


Le groupe d'intervention 2e génération est arrivé vers 22 heures en provenance d'Orange. Ses hommes ont rempli leur mission avec succès : sortir les sept personnes qui étaient restées à l'intérieur du centre commercial à l'insu du forcené. Il s'agissait d'employés du centre commercial. Certainement des vigiles et des caissières. Ils ont été accueillis par le directeur du magasin à la sortie. Leurs familles avaient été confinées un peu plus loin sur le parking. 
Négociations lancées
Le Groupe d'intervention de la police nationale avait été prévenu et la possibilité d'une arrivée par hélicoptère. Mais vers minuit  ce sont des négociations qui ont débuté sur place. Deux négociateurs tentant de rentrer en contact avec l'homme. Les gendarmes n'avaient plus eu de contact avec lui depuis leur arrivée sur site. L'hypothèse qu'il se soit enfui était donc également évoquée. Mais ils débutaient la phase de négociations, puis sans doute d'intervention, considérant que le braqueur pouvait toujours se trouver retranché quelque part dans ce vaste magasin. 

http://www.midilibre.fr/2013/07/02/lunel-un-forcene-retranche-dans-un-centre-commercial,725995.php

dimanche 30 juin 2013

Un Russe contrôlé à 233 km/h au volant de sa Ferrari sur l'A8 à Nice

233 km/h sur l'autoroute de contournement de Nice. Plus du double de la vitesse autorisée, 110 km/h. Ce ressortissant russe a fait très fort, mardi soir, en établissant l'un des tristes records routiers de ces dernières années sur la Côte d'Azur. Les gendarmes l'ont intercepté à 21 h 50, sur la plaine du Var, au volant d'une vrombissante Ferrari FF.
Le chauffard venait d'affoler les compteurs sur l'A8 alors qu'il roulait en direction d'Aix, entre les péages de Saint-Isidore et de Saint-Augustin. Une course folle stoppée par les motards du peloton autoroutier de gendarmerie. L'automobiliste a dû s'acquitter d'une consignation de 750 e, s'est vu signifier une rétention de permis et l'interdiction de circuler sur les routes françaises pendant deux mois.
Il sera convoqué devant le tribunal de police de Nice pour répondre de cette contravention de 5e classe. La Ferrari ne lui appartenant pas, elle n'a pu être saisie. C'est donc un tiers qui a récupéré ce bolide immatriculé à l'étranger.

http://www.nicematin.com/nice/un-russe-controle-a-233-kmh-au-volant-de-sa-ferrari-sur-la8-a-nice.1325201.html

samedi 29 juin 2013

Auch : cinq personnes interpellées après les trois braquages

Cinq personnes ont été interpellées, jeudi, vers midi, dans le cadre de l’enquête sur les trois braquages de la semaine dernière qui se sont déroulés à Auch.
Hier, donc, le commissariat d’Auch, assisté du service régional de police judiciaire (SRPJ) de Toulouse, a arrêté quatre hommes et une femme, à Auch. Ils ont été placés en garde à vue afin d’être interrogés. Hier soir, ils se trouvaient toujours en garde à vue qui, devra être prolongée et dépassera les 48 heures.

Vendredi 21 juin, en matinée, deux vols à main armée ont eu lieu en ville : l’un à 9 h 30 au magasin Shopi de la rue de Lorraine, l’autre une heure après au bureau de tabac du Garros. Dimanche soir, à 23 h 15, c’était au tour des six employés du restaurant Quick, route de Tarbes, d’être mis en joue par deux malfaiteurs armés et au visage caché

http://www.sudouest.fr/2013/06/29/faits-divers-1100916-4584.php

Une troisième bijouterie de Périgueux braquée

Installée depuis près de 30 ans, rue Chancelier de l'Hôpital, à Périgueux, la bijouterie Debord n'avait jamais connu de problème.
Ce samedi, vers 9h30, elle a été la cible d'un braquage à main armée. Peu après l'ouverture, deux hommes aux visages dissimulés et portant des gants sont entrés dans la boutique et ont menacé les deux vendeuses avec une arme. Ils les auraient forcées à remplir un sac avec les bijoux en or avant de prendre la fuite.

Les deux vendeuses n'ont pas été blessées mais sont très choquées.
C'est le troisième braquage de bijouterie à Périgueux depuis février 2013.

http://www.sudouest.fr/2013/06/29/une-troisieme-bijouterie-de-perigueux-braquee-1101049-1980.php

Massacre de l'octogénaire : 24 ans de réclusion pour Jérémy Priour

Le jeune homme qui a tué Colette Tanguy le 21 juin 2010 dans son appartement de la place au Bois a été condamné par la Cour d’assises à 24 ans de réclusion criminelle.
L’avocat général avait requis 30 ans de réclusion criminelle avec une peine de 22 ans de sûreté. Pour Orlane Yaouanq, «plusieurs éléments matériels» dont l’ADN, les traces de chaussures dans l’appartement et les aveux de Jérémy Priour qui «décrit par le menu» ses violences «dès le 24 juin bien avant l’expertise médico-légale» accablent le prévenu. Elle considère que le crime est d’autant plus «sordide» que la victime avait subi l’équivalent d’«un crash-test» qui «a disloqué les os de la face». Les avocats de la défense ont soutenu au contraire que le dossier brillait par «son insuffisance de preuves», selon Me Mesa qui demande l’acquittement : témoins non entendus, traces de chaussures non identifiées qui laissent ouverte «l’hypothèse d’un second homme». «L’enquête a été bâclée. C’est un scandale judiciaire. Elle doit être refaite», n’hésite pas à dire son confrère Me Blanco. Pour lui, les erreurs de procédure s’accumulent : un procès-verbal de garde à vue «déformé» et «incomplet», un témoin capital de l’affaire, le dénommé «Malo», qui n’a pas été entendu, une reconnaissance du suspect par Mme Mayorgas, qui n’a pas été bien faite, «trop d’incertitudes» attestant de la présence d’un second homme qui aurait nettoyé l’appartement de la victime jusqu’au cutter retrouvé propre, une absence de confrontation et de reconstitution de nature à éclairer l’enquête. Pourtant, un peu plus tôt dans la journée, sa demande d’«un supplément d’information» et d’un «renvoi du dossier» a été rejetée par la cour. Dans la matinée, le psychiatre Daniel Ajzenberg avait décrit l’accusé comme «une personnalité un peu inquiétante». «Son histoire familiale traumatisante» avec notamment une séparation de ses parents à 13 ans pourrait expliquer «son comportement délictueux» et «son parcours polytoxicomaniaque». En revanche, il ne s’explique pas pourquoi Jérémy Priour est revenu sur ses aveux : simple système de défense, troubles de la mémoire ou mécanisme de refoulement ?
La journée avait débuté par les témoignages sur la personnalité de Colette Tanguy. «Elle était très gentille et prête à rendre service. Elle était humaine et trop confiante», déclare Dominique Dye, l’enquêtrice sociale. Les témoignages de ses sœurs ont été très émouvants. «Elle faisait trop confiance», confirme Claudine Tanguy, qui habite la maison familiale à Bordères. «C’était une femme extraordinaire, très droite avec un caractère très fort mais avec un cœur d’or», se souvient Josette. Me Charbonnel, l’avocat de la partie civile, a rendu hommage tout autant à la victime qu’à sa famille. Et pour elle, les preuves de la culpabilité de Jérémy Priour sont flagrantes : aveu spontané lors de son interpellation à domicile, traces d’ADN retrouvées sur de nombreux objets et sur le corps de Colette Tanguy. Tout en laissant en suspens une question qui n’a pas dû laisser indifférent le jury : «Savait-il qu’elle était morte lorsqu’il l’a mutilée ?»

http://www.ladepeche.fr/article/2013/06/29/1660984-24-ans-de-reclusion-pour-jeremy-priour.html

vendredi 28 juin 2013

Gendarme fauché: 18 ans de prison

Jimmy Van Mullem, accusé d'avoir lors d'un contrôle routier en juillet 2010 fauché un gendarme qui est décédé de ses blessures quatre mois plus tard, a été condamné aujourd'hui à 18 ans de réclusion par la cour d'assises du Pas-de-Calais, pour homicide volontaire. Il a également été reconnu coupable de tentative d'homicide volontaire d'un deuxième gendarme qui assistait au contrôle routier. Un homme, qui l'a aidé à se débarrasser du véhicule accidenté, a écopé pour sa part de deux ans de prison, sans mandat de dépôt. Les peines, prononcées après plus de trois heures de délibéré, sont conformes au réquisitoire.

Les faits remontent au 19 juillet 2010. Jimmy Van Mullem était contrôlé ce jour-là, à Thélus (Pas-de-Calais), par une patrouille de la brigade de gendarmerie de Vimy, à 144 km/h, alors que la vitesse était limitée à 90 km/h. L'adjudant Tapella et son collègue Julien Pauchet s'étaient alors placés des deux côtés de la chaussée pour intercepter le véhicule, qui ne s'est pas arrêté et a percuté violemment l'adjudant Tapella. Ce dernier, 49 ans, est décédé le 12 novembre 2010 des suites de ses blessures, après plusieurs semaines de coma et une hospitalisation de près de quatre mois.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/06/28/97001-20130628FILWWW00492-gendarme-fauche-18-ans-de-prison.php

Traumatisé, le chauffeur qui a tué Coluche se confie

Vingt-sept ans après la mort de l'humoriste chouchou des Français, Coluche, le chauffeur du « putain de camion » qui l'a renversé s'est confié au Petit Niçois.
Le routier, Albert Ardisson, est revenu sur l'accident et raconte comment ce dernier a bouleversé sa vie. Il a d'ailleurs expliqué : « Je ne l’ai pas vu. Il a débouché. Je l’ai vu quand il a tapé là. Qu’est ce que vous voulez que je vous dise d’autre ? Il allait vite, très vite ! ». Depuis le 19 juin 1986, date de la mort de Coluche, le routier n'avait plus donné de nouvelles.
À 75 ans, Albert Ardisson profite de sa retraite à Carros-Village, près de Nice. Il a avoué au journal que cet épisode de sa vie était « très grave » et l'avait amené à faire une dépression. « Une longue affaire qui dure depuis 30 ans », confit-il, sans ajouter d'autres commentaires.

Et, pour éviter le sujet, le chauffeur de poids-lourd a inventé tout un stratagème et se proclame le père de Thierry Ardisson. « Généralement, cela coupe court à toute discussion » a-t-il déclaré.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/06/28/1660906-traumatise-le-chauffeur-qui-a-tue-coluche-se-confie.html

jeudi 27 juin 2013

France: un couple de faussaires interpellé

Un couple d'une cinquantaine d'années, dont le mari artiste-peintre copiait des maîtres de la peinture, a été interpellé en France pour avoir revendu de fausses toiles à un prix dérisoire sur un site d'enchères. Le couple a été interpellé lundi dernier, soupçonné d'avoir gagné quelque 100.000 euros, en écoulant de fausses oeuvres de Modigliani, Munch, Manet, Pissaro ou Kandinsky sur e-bay, a-t-on appris jeudi auprès de la Direction centrale de la police judiciaire (DCPJ).

Les deux suspects ont été mis en examen hier et placés sous contrôle judiciaire. Une victime avait signalé le couple à la police après avoir acquis un tableau signée Claude Monet, croyant avoir flairé la bonne affaire mais s'apercevant ensuite qu'elle avait en fait été flouée. Mises en vente pour quelques euros sous différents pseudonymes, les toiles pouvaient ensuite atteindre quelque 1000 euros. Les enquêteurs sont remontés au couple de quinquagénaires habitant près de Nîmes. Trente tableaux contrefaits et trente autres en préparation ont été saisis dans un box discret situé près d'Avignon appartenant aux suspects. 

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/06/27/97001-20130627FILWWW00538-france-un-couple-de-faussaires-interpelle.php

Rodez : une fillette meurt dans la ferme familiale

Une fillette de sept ans est morte mercredi soir dans la ferme familiale à La Salvetat-Peyralès, dans l'Aveyron, heurtée par une pièce détachée d'un engin agricole, peut-on lire sur MidiLibre.fr 
Ils semble, selon la même source, qu'elle se tenait dans une remorque agricole, lorsqu'une pièce métallique s'en est détachée pour aller la frapper.

Les pompiers, assistés d'une équipe du Samu arrivée par hélicoptère, ont été déployés sur les lieux mais ils n'ont pas réussi à sauver la fillette. 

http://www.sudouest.fr/2013/06/27/rodez-une-fillette-meurt-dans-la-ferme-familiale-1098871-7.php

Albi. Elle s'effondre devant une voiture

Émotion hier vers 19 heures à l’entrée de la rue Croix-Verte. Une dame s’est effondrée au passage piéton, devant une voiture. Malaise ou accrochage ? Deux témoins penchent pour la première hypothèse : «Nous n’avons entendu ni coup de frein, ni choc et la voiture n’est pas abîmée.» Les sapeurs-pompiers ont transporté la victime à l’hôpital, tandis que les policiers enquêtaient, sous les yeux de nombreux badauds. L’accès bloqué à la rue Croix-Verte a entraîné des bouchons jusque loin. Un automobiliste a mis «une demi-heure pour aller de Pratgraussals au Vigan»!

http://www.ladepeche.fr/article/2013/06/27/1659067-albi-elle-tombe-devant-la-voiture.html

Il frappe un enfant pas sage : deux ans de prison

Jean-Hubert Phanord, 29 ans, comparaissait hier devant le tribunal correctionnel de Toulouse, dans le cadre des comparutions immédiates. Ce Martiniquais a rejoint sa compagne dans le Comminges en mai. Il s’est installé avec elle et ses deux enfants, âgés de 3 et 9 ans. Début juin, les deux parents ont amené le plus jeune à l’hôpital. L’enfant vomissait du sang. La famille a affirmé qu’il avait fait une chute dans la baignoire. Les médecins ont vite deviné des maltraitances avec, pour conséquence, une hémorragie digestive et des ecchymoses sur les jambes.
«Je lui ai donné un coup de poing dans le ventre pour le canaliser», avoue l’homme à l’audience. «Je lui ai donné une douche froide car il jouait avec ses selles» L’enquête des gendarmes a révélé des maltraitances habituelles, exercées également par la mère. Elle aussi devra s’expliquer avec la justice. «C’est culturel chez nous en Martinique», explique le prévenu, qui dit avoir lui même subi des violences dans son enfance. Cet homme, dont le casier judiciaire était vierge, a été condamné à 2 ans de prison avec mandat de dépôt, et une obligation d’indemniser l’enfant à hauteur de 2 000 €.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/06/27/1659777-il-frappe-un-enfant-pas-sage-deux-ans-de-prison.html

mercredi 26 juin 2013

Une automobiliste grièvement blessée à La Rochelle

Un accident de la circulation s'est produit mardi soir vers 21h15 avenue Denfert-Rochereau dans le quartier de la Pallice à La Rochelle.
Une automobiliste a perdu le contrôle de son véhicule qui a fait plusieurs tonneaux avant de s'encastrer dans un poteau EDF. La conductrice a dû être désincarcérée par les pompiers puis transportée dans un état grave à l'hôpital de La Rochelle.

http://www.sudouest.fr/2013/06/26/une-automobiliste-grievement-blessee-a-la-rochelle-1097376-1391.php

1€ symbolique pour le médecin, trop courtisé par sa patiente

Version moderne et haut-saônoise de la malade imaginaire, l’affaire prête à sourire. Ce médecin vésulien se dit harcelé, pressé, couvert d’attentions répétitives et rébarbatives : mails, courriers, cadeaux en tous genres (dont un superbe tapis de souris !)…
Cupidon aurait pris en otage le cœur de la prévenue, absente hier. Un cœur d’artichaut selon l’avocat de la défense, Me Glaive : « A écouter Monsieur, j’aurais pu déposer plainte car j’ai eu droit moi aussi à mon lot de cadeaux. Mais la vérité, c’est que ma cliente ne ferait pas de mal à une mouche. »
Le médecin, lui, déplore les venues plus que régulières de cette femme de 57 ans dans sa salle d’attente, alors qu’il n’est plus son médecin traitant, et craint qu’elle ne s’approche de sa famille.
Alors, simplement trop généreuse, cette ex-salariée de PSA licenciée il y a quelques mois ? L’expertise psychiatrique vaut son « pesant de cacahuètes » selon le juge Fernand Kato : « immaturité, débordée affectivement, facilement déstabilisée… »
Me Glaive a eu beau s’escrimer à prouver que la seule issue possible de cette affaire était la relaxe, le juge Kato ne s’est pas laissé amadouer. Trois mois de prison avec sursis et deux ans de mise à l’épreuve. Autre décision de bon sens : l’interdiction de contact avec le médecin, qui lui, sera dédommagé à hauteur d’un euro symbolique. La raison, cette fois, sera-t-elle plus forte que la passion ?

http://www.estrepublicain.fr/haute-saone/2013/06/26/1-symbolique-pour-le-medecin-trop-courtise-par-sa-patiente

L'épouse du prof parti avec une élève veut divorcer

L'épouse de Jeremy Forrest, l'enseignant britannique condamné à cinq ans et demi de prison après sa cavale avec une élève de 15 ans en France en septembre, a engagé une procédure de divorce, a annoncé mardi la soeur du professeur. "La procédure de divorce a été lancée", a déclaré Carrie Hanspaul, soeur de Jeremy Forrest. La femme du professeur de mathématiques "a engagé" les démarches, a-t-elle précisé sur la chaîne de télévision britannique ITV. "Personne de la famille ne lui a parlé" depuis la cavale, qui avait fait la Une de plusieurs journaux français et britanniques en septembre dernier, a-t-elle précisé.
Jeremy Forrest, âgé de 30 ans et marié depuis 2011, a été condamné vendredi en Angleterre à cinq ans et demi de prison pour "enlèvement" et relations sexuelles avec une élève de 15 ans. Lors de son procès, Jeremy Forrest a lancé "Je t'aime" à l'adolescente, aujourd'hui âgée de 16 ans. "Je suis désolée", lui a lancé la jeune fille.
 

mardi 25 juin 2013

Un accès de colère mortel

LES faits sont très simples », a immédiatement résumé le président de la cour d'assises des Ardennes Gilles Latapie, hier matin, à l'ouverture du procès en appel de Jean Pinceel, 71 ans. Difficile de le contredire.
Le 7 janvier 2011, ce retraité domicilié à Reims a tué son épouse Elisabeth Lalouette
d'un coup de couteau dans le dos. Elle avait 50 ans et venait de lui annoncer son souhait de « prendre du recul ». Ils étaient mariés depuis quatre mois, après s'être rencontrés et vite aimés en mai 2010. Sur l'appel d'urgence enregistré par le Samu, la victime supplie : « S'il vous plaît… Je suis blessée ». Plus lointaine, émerge la voix de Jean Pinceel : « Tu vas mourir ». Quelques minutes plus tard, les secours arrivent dans la rue Charles-Marq. L'homme les accueille calmement : « Suivez-moi. C'est moi qui ai planté ma femme ».
En septembre dernier, des jurés marnais ont condamné ce septuagénaire à treize ans de réclusion, coupable selon eux d'un « meurtre sur conjoint », passible de la réclusion criminelle à perpétuité. Pourquoi avoir fait appel ? « Parce que selon les médecins, j'en ai pour cinq ou six ans à vivre », a expliqué l'accusé d'une voix chevrotante. Ne pas mourir en prison, donc. Pour réduire la peine de son client, Me Repka, l'avocat de la défense, ambitionne de requalifier « l'homicide volontaire » en « violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner », crime qui, avec la circonstance aggravante que la victime soit l'épouse de l'accusé, peut être puni jusqu'à vingt ans de réclusion.
La mission s'annonce compliquée : le médecin-légiste qui a autopsié la victime a assuré, hier, que sa blessure « n'était pas une situation compatible avec quelque chance de survie ». La lame utilisée par l'accusé mesurait huit centimètres, elle s'est enfoncée quasiment jusqu'à la garde entre les côtes d'Elisabeth Lalouette, décédée six heures plus tard des suites de sa blessure.
Jusqu'à ce « coup de colère » insensé, Jean Pinceel n'avait jamais été condamné. Face à un psychologue, celui qui est détenu à Reims depuis trente mois a eu ces mots : « J'ai eu un vertige […] Un trou noir […] Tout a tremblé dans ma tête ». Devant les enquêteurs, il a encore bloqué sur sa propre énigme : « Je ne peux rien expliquer […] Je regrette beaucoup, je l'aimais. »
« Tout plastique »
Équipé d'un pacemaker, en proie à de vives angoisses difficilement tempérées par un traitement à base d'antidépresseurs et de somnifères, l'homme a semblé égaré et affaibli. Hier matin, il s'est raconté. En 2007, sa première femme, polyhandicapée, était décédée « dans ses bras », des suites de maladie, après vingt-huit ans de mariage. De cet amour, est né trois enfants. Encore plus tôt, « de huit à trente-six ans », Jean Pinceel, « élevé dans la bagarre » selon sa propre appréciation, a été régulièrement rongé par l'alcool. Jusqu'à boire « trois litres de vin » par jour. Six cures pour contrer cette
addiction
, dont une dernière dite « de dégoût » : les médecins tentent d'écœurer le patient en lui ingurgitant de l'alcool du matin au soir. « Ah, je ne la connaissais pas celle-là », tente de sourire le président Latapie.

Hormis la question du caractère volontaire de cet homicide, les débats ont doucement ronronné - permettant même à un juré de s'assoupir. On écoute Jean Pinceel comme un parent en maison de retraite. Pour lui parler, il faut répéter, parler fort et articuler. En plein récit de ses déboires, il lâche : « Moi, je suis tout plastique ». Regards interloqués parmi les jurés. « J'étais ivre, je suis tombé du trottoir. Là, je suis plastique ; là, je suis plastique… », détaille le septuagénaire en passant une main sur son menton, sa joue et sa pommette. Les chirurgiens ont bien fait les choses. « Ah bon ? Ça ne se voit pas… », ne peut que constater le président. De l'examen de ce dossier n'émerge qu'un sentiment d'immense gâchis.
Verdict ce soir.


http://www.lunion.presse.fr/article/region/un-acces-de-colere-mortel

Go-fast mortel : un homme menotté retrouvé

Un homme menotté et portant des traces de coups, mais vivant, a été retrouvé lundi dans l'une des voitures du convoi de transport de drogue qui a provoqué la mort d'un automobiliste sur l'autoroute A9 près de Narbonne, a-t-on appris mardi de source proche de l'enquête. L'homme retrouvé menotté est bien connu des services de police, a précisé cette source, confirmant une information du quotidien Le Parisien/Aujourd'hui en France.
Au moins trois véhicules composaient ce convoi de transport de cannabis. La voiture ouvreuse s'est volatilisée. La deuxième, une voiture allemande de grosse cylindrée a attiré l'attention de motards des douanes qui l'ont prise en chasse sur l'autoroute A9 dans le sens Perpignan/Béziers lorsqu'elle a tenté de leur fausser compagnie. C'est lors de cette course-poursuite à 240 km/h que cette deuxième voiture, en slalomant entre les automobilistes, a percuté un 4x4 noir qui roulait sur la file du milieu, tuant son conducteur.
Le troisième véhicule du convoi transportait l'homme menotté. On ignorait mardi midi ce qu'il est advenu du conducteur de cette voiture.
 

Agde. Agressé par des squatteurs du Canal du Midi

Un homme a été agressé le week-end dernier par des squatteurs de péniches à Agde, dans l'Hérault.
Depuis plusieurs mois, des péniches et bateaux sont squattés par des SDF sur le Canal du Midi, notamment quai de l'écluse Ronde, à Agde, provoquant toutes sortes de nuisances. Dans la nuit de samedi à dimanche, José Querino-Lopez, qui habite sur une péinche, en a eu assez, rapporte Midi Libre ce mardi. Il est sorti de son bateau pour demander à ses bruyants "voisins" de la mettre en sourdine. A peine avait-il mis le pied dehors, qu'un homme l'a insulté et menacé avant de le frapper violemment à la tête. "Alors que je lui demandais de stopper son raffut, mon agresseur a tout de suite riposté en hurlant, raconte José Quérino-Lopez. Il m’a menacé de mort. Il hurlait qu’il allait mettre le feu au bateau pendant que nous dormions et il a fini en gueulant qu’il violerait aussi ma femme. Je me suis avancé et j’ai pris un énorme coup sur la tête. Le sang coulait de mon visage. Je n’y voyais plus rien." L'agresseur présumé de José Querino-Lopez a été interpellé.

"Un véritable enfer"

La victime, qui a terminé sa nuit aux urgences, dénonce également l'inaction des pouvoirs publics. Ils "ne font pas grand-chose pour lutter contre ce phénomène de squat des péniches qui pourrit au quotidien la vie de ceux qui vivent sur le canal en payant leur dû." La Communauté d'agglomération Hérault Méditerranée a bien acheté un terrain près du Canal du Midi qui était squatté pour remédier au problème. "Mais il reste encore des tentes cachées dans les fourrés. Et tous les soirs, c’est le même manège. Ils viennent au bord de notre bateau pour faire du bruit et de la musique jusqu’au petit matin. Ce qui devait être un petit coin de paradis est un véritable enfer", explique José Querino-Lopez.
Une réunion doit avoir lieu ce mardi entre l'Etat, la police, les victimes, les collectivités locales et les voies navigables de France pour évoquer ce problème, indique Midi Libre

http://www.ladepeche.fr/article/2013/06/25/1658025-agde-agresse-par-des-squatteurs-du-canal-du-midi.html

La Versanne : elle percute un poteau, sa voiture s’écrase contre un arbre dans un ravin

Lundi en début de soirée, un accident de la route est survenu à La Versanne sur la D1082 en direction de Bourg-Argental. Les circonstances ne sont pas établies mais une voiture a, semble-t-il, percuté un poteau avant de s’enrouler autour d'un arbre dans un ravin.

L'intervention des secours a été rendue très difficile. Coincée durant plus de deux heures dans l'habitacle de son véhicule, la conductrice, une sexagénaire, n'a été que légèrement blessée.

http://www.leprogres.fr/loire/2013/06/24/la-versanne-il-percute-un-poteau-sa-voiture-s-ecrase-contre-un-arbre-dans-un-ravin
 

lundi 24 juin 2013

Leur maison dévastée par une coulée de boue

Une coulée de boue s'est formée à l'entrée de Chaourse. La maison de Corinne et Mickaël Darroussat se trouvait en plein dans sa trajectoire.
LES bottes toutes boueuses d'Enzo, 4 ans, sont restées sur le pas de la porte. Une attention que sa maman aurait sans doute appréciée en temps normal, mais ces jours-ci, c'est le cadet de ses soucis. La famille vit au rythme de la coulée de boue qui s'est déversée dans leur maison de Chaourse il y a quelques jours.
Dès qu'ils ont un moment libre, entre les démarches auprès des assurances et leur travail, Corinne et Mickaël Darroussat retroussent leurs manches et nettoient ce qu'ils peuvent des 140 m2 de leur sous-sol qui ont sombré sous la boue. « Heureusement que les amis, la famille et les pompiers de Montcornet étaient là pour nous donner un coup de main et aussi nous soutenir moralement. Nous leur adressons un grand merci », tient à dire la mère de famille qui a assisté, impuissante, à cette coulée de boue.
Le chien sauvé in extremis
Quand elle est sortie de son travail, son téléphone
portable
s'est mis à sonner tous azimuts. Le voisin avait voulu la prévenir mais, n'y parvenant pas, avait finalement appelé son fils. C'est son message qu'elle a écouté en premier. « Il me disait : « Va mettre un masque et un tuba au chien, je crois qu'il apprend à nager. » Comme toujours, j'ai cru qu'il plaisantait. Jamais je n'aurai imaginé qu'il disait vrai à ce point… »

Quand elle arrive devant chez elle, Corinne Darroussat prend l'ampleur de la catastrophe. Sa maison se trouve en plein dans la trajectoire d'une coulée de boue dont les témoins assurent qu'elle faisait 200 mètres de large. Les dégâts encore apparents sur les talus confortent cette impression. « Tout de suite, j'ai pensé au chien. J'ai fait comme j'ai pu pour arriver au chenil : il était temps. Il était embourbé jusqu'au cou et commençait à suffoquer. J'ai eu beaucoup de mal à le dégager, il s'en est fallu de peu. Ensuite, je me suis mise à l'écart, en sécurité, et j'ai regardé », raconte-t-elle non sans émotion.
Rien n'a été épargné
Quand le couple peut enfin accéder à sa maison, c'est la stupeur. Les dégâts, limités au sous-sol, sont néanmoins importants. Les meubles, l'électroménager, les souvenirs, rien n'a été épargné. « Il y avait environ 50 centimètres de boue et par endroits, des éclaboussures jusqu'à un mètre, témoigne Mickaël Darroussat. On relativise quand on voit ce qui s'est passé dans le Sud-Ouest, avec des personnes décédées, mais c'est quand même dur à encaisser. Surtout, on ne savait pas par où commencer le nettoyage. »
II faudra encore de longues semaines pour effacer les traces de ce torrent de boue. Celles laissées dans la tête de Corinne Darroussat mettront bien plus de temps à disparaître. Désormais, elle vit dans la crainte qu'un tel événement ne se reproduise et tremble dès que la pluie commence à tomber. Autant dire qu'en ce moment, elle n'a pas l'esprit tranquille.

http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/leur-maison-devastee-par-une-coulee-de-boue

Narbonne : un automobiliste meurt percuté par un go-fast sur l'A9

Le trafiquant présumé, qui roulait à 240 km/h, cherchait à échapper à une équipe des douanes qui l'avaient pris en chasse sur l'autoroute, dans le sens Perpignan-Béziers. Il était en garde à vue lundi après-midi.

Sous la violence du choc, il a été éjecté de son véhicule. Un automobiliste a été tué, lundi, lorsque son 4x4 a été percuté par un go-fast, puissante voiture servant à convoyer de la drogue, sur l'autoroute A9 à Narbonne, lundi.
Le trafiquant présumé, qui roulait à 240 km/h, cherchait à échapper à une équipe des douanes qui l'avaient pris en chasse sur l'autoroute A9 dans le sens Perpignan/Béziers.
Le suspect, un habitant de l'Hérault, a été interpellé et se trouvait en garde à vue lundi après-midi. L'accident a provoqué un bouchon de plusieurs kilomètres, sur l'A9 mais aussi sur l'A61, en direction de Béziers.
 

De Bordeaux à La Rochelle : l’escroquerie au terminal de paiement fait des ravages

On pensait avoir tout vu en matière d’escroquerie. Eh bien, non ! L’imagination des malfaiteurs est sans limite. Depuis peu, une nouvelle forme d’arnaque à la carte bancaire a vu le jour. Il s’agit du piratage des terminaux de paiement électronique (TPE). La technique est imparable et est en train de créer un préjudice sans précédent chez les détenteurs de cartes bancaires. Depuis quelques mois, une équipe d’escrocs sillonne le Grand Sud, de Bordeaux à Béziers en passant par Narbonne, Rivesaltes, Pau, La Rochelle, Mont-de-Marsan, Toulouse ou encore Tarbes. Dans chacune de ces villes, plusieurs commerçants ont reçu la visite de ces clients indélicats.
Concrètement, les malfaiteurs prennent pour cible des grandes chaînes commerciales dont ils savent que les filiales sont toutes équipées d’un même modèle de terminal de paiement électronique sans fil de la marque Ingenico. Ils effectuent aussi des repérages dans des restaurants avant de revenir pour passer à l’action.

  • Une technique redoutable
Au moment de régler, à la caisse, ils perturbent l’attention du commerçant en laissant tomber un objet, par exemple, et substituent le TPE par un autre appareil, parfaitement identique. Mais celui-ci a été piraté par leurs soins. Il est équipé d’un système d’émission par « bluetooth » et d’un skimmer - un dispositif placé dans la fente destinée à lire la piste magnétique de la carte.
Ils vont ainsi laisser le TPE fonctionner quelques heures ou quelques jours pour que des paiements soient réalisés. Puis ils vont revenir dans la boutique, le restaurant ou le cinéma et se placer à proximité de la caisse enregistreuse pour récupérer, en moins de trente secondes, l’intégralité des données mémorisées. Et cela, grâce à une application téléchargée sur un smartphone. À partir de ces coordonnées et du code confidentiel également mémorisé, ils vont faire fabriquer des clones auprès de complices installés en Asie du Sud-Est et aux États-Unis. Les vraies fausses cartes, ou « Yes card » parce qu’elles disent toujours « oui », peuvent être alors utilisées partout dans le monde. « C’est redoutable », observe un enquêteur de la division des affaires économiques et financières de la Direction interrégionale de la police judiciaire (DIPJ) de Bordeaux, en charge depuis peu de conduire les investigations dans le cadre de cette affaire.
  • Personnaliser le TPE
La PJ a été saisie à la suite d’une plainte car une carte piratée a fait un « bug » dans une boutique du centre commercial Rives-d’Arcins, à Bègles. La vendeuse a découvert que le TPE avait été changé à son insu. « Les clients victimes de ces malversations et ayant leur compte débité de plusieurs milliers d’euros doivent aussitôt le signaler à la police et auprès de leur banque », indique un policier.
Pour l’instant, l’enquête n’a pas permis d’identifier les escrocs, qui poursuivent leur périple. Afin de se prémunir face à ce système ingénieux, la DIPJ invite à la plus grande vigilance et s’apprête à adresser une note à l’attention des Chambres de commerce et d’industrie pour que l’ensemble des commerçants soient alertés.
Dans un premier temps, des méthodes préventives simples peuvent d’ores et déjà être mises en place, comme personnaliser le TPE. Cela permet de s’apercevoir aussitôt d’une substitution. « Fixer le terminal et ne pas le laisser à la libre disposition du client peut également s’avérer efficace », suggère un enquêteur.
En France, les fraudes à la carte bancaire sont estimées à environ 500 millions d’euros par an. Les clients qui n’ont pas été dépossédés de leur carte et dont la bonne foi est prouvée seront remboursés, après bien des tracas cependant.

http://www.sudouest.fr/2013/06/24/de-bordeaux-a-la-rochelle-l-escroquerie-au-terminal-de-paiement-fait-des-ravages-1094946-7.php

mardi 21 mai 2013

Un couple de Russes agressé à Mougins

Ce couple de Russes ne pensait certainement pas terminer ainsi la soirée romantique qu'il s'était offerte, dimanche, à Mougins.
C'est en repartant du Clos Saint-Basile, peu avant minuit, que ces deux résidents monégasques ont été agressés sous la menace d'une arme de poing par quatre individus.
Une agression rapide et choquante
Derniers clients de l'établissement, ils se rendaient à leur véhicule, stationné seul sur le parking, lorsque les malfrats ont déboulé en voiture. Cagoulés, ils ont contraint la jeune femme de 38 ans a leur remettre son sac et sa montre de luxe. Une agression rapide et choquante pour les deux victimes.
Alertés par le restaurant, les gendarmes de la brigade de recherche de Cannes et de la brigade territoriale de Mougins se sont immédiatement rendus sur place pour effectuer les premières constatations. L'enquête est en cours.
http://www.nicematin.com/cannes/un-couple-de-russes-agresse-a-mougins.1263203.html

dimanche 19 mai 2013

Sortie de route mortelle

Un accident mortel s'est produit cet après-midi vers 15 heures au niveau du hameau de Raphèle (commune d'Arles). Un véhicule a quitté sa voie de circulation avant d'heurter un platane. Le conducteur, un homme âgé de 89 ans, a été tué sur le coup. Sa passagère, âgée de 75 ans et grièvement blessée, a été transportée à l'hôpital Nord à Marseille.

http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/2362609/sortie-de-route-mortelle.html

vendredi 17 mai 2013

Bordeaux : les restes d'un crâne découverts au cours de travaux

Les travaux venaient de débuter dans cette maison récemment acquise de la rue de Toulon à Bordeaux. Jeudi en fin de matinée , un sac en plastique contenant les os d’'un crâne de petite taille  a été retrouvé dans les combles... entre le mur en pierre et la cloison en Placoplatre.
Le chantier a immédiatement été suspendu pendant que les hypothèses les plus insolites circulaient.

Saisis de cette découverte de cadavre, les policiers se sont rendus sur place. Des prélèvements ont été effectués et examinés par un médecin légiste.
Le mystère a été rapidement levé. Il s'’agissait en fait d’'une reproduction en cire datant de plus de trente ans...

http://www.sudouest.fr/2013/05/17/bordeaux-les-reste-d-un-crane-decouvert-au-cours-de-travaux-1056604-2780.php

Une octogénaire meurt dans un feu d'habitation

Il était environ 8h ce matin quand des voisins ont alerté les sapeurs-pompiers, à Manosque. L'occupante de l'appartement mitoyen, âgée de 86 ans, ne répondait pas aux appels, alors que la fumée s'échappait de son logement. La victime serait décédée des inhalations de monoxyde de carbone causées par un incendie d'origine accidentelle, provenant sans doute d'un chauffage d'appoint.

http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/2359133/une-octogenaire-meurt-dans-un-feu-dhabitation.html

Enfant blessé/Gard: un homme se rend

Un homme doit être déféré demain au parquet de Nîmes dans l'affaire du garçonnet de quatre ans blessé par balle lors d'une rixe entre deux familles tziganes sur la commune, a-t-on appris aujourd'hui de source proche de l'enquête.

Cet homme s'était livré au commissariat mercredi soir et a passé la journée  en garde à vue, a-t-on précisé de même source. Selon le parquet, un vol de caravane dans les Bouches-du-Rhône serait à l'origine de la rixe qui a dégénéré. Dans la nuit de mardi à mercredi, la famille de l'enfant, des tziganes serbes, s'est présentée sur une propriété à Nîmes, où se trouvaient deux hommes, pour exiger la restitution de la caravane. Après une discussion houleuse, l'un d'eux a sorti une carabine et tiré sur le véhicule de la famille qui prenait la fuite, l'une des balles atteignant le garçonnet à la tête.

Le projectile a été extrait lors d'une opération mercredi à l'hôpital de La Timone à Marseille, où l'état de l'enfant n'inspirait plus de craintes.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/05/16/97001-20130516FILWWW00776-enfant-blessegard-un-homme-se-rend.php

jeudi 16 mai 2013

Besançon : Carrefour Chalezeule cambriolé

Avec l’audace plus probable des amateurs que celle de cambrioleurs aguerris, au moins deux individus se sont attaqués à l’hypermarché Carrefour de Chalezeule et à sa galerie commerciale, au cours de la nuit de mardi à mercredi.
Après avoir testé plusieurs portes possibles qu’ils ont trouvées trop solidement cadenassées ou blindées, les casseurs ont réussi à forcer celle d’un salon de coiffure, qu’ils ont retourné en priorité mais sans y dénicher un quelconque butin.

Quatre cibles, deux succès

Il est aux environs de 3 h du matin lorsque le casse débute. Les malfrats poursuivent leurs investigations à l’intérieur du centre commercial, un peu à l’aveuglette. Ils commencent par y forcer, cette fois avec succès, deux caisses automatiques, sur lesquelles les clients peuvent payer en liquide. On ne connaît pas le montant de ce premier préjudice subit par le magasin Carrefour.
Encouragés, ils continuent leur périple en visant le « Manège à bijoux » sur lequel ils font chou blanc mais réussissent avec un minimum de bonne volonté à en déclencher l’alarme silencieuse, reliée à une société de surveillance extérieure.
Marris par ce nouvel échec, les malfrats se concentrent alors sur le rayon électronique de la grande surface où ils vont faire une razzia sur le matériel informatique et photographique. C’est apparemment au moment où ils effectuent leur second aller et retour qu’un vigile de la société de surveillance arrive, les surprend des sacs rebondis au bout des bras et les mets en fuite.
Les deux hommes, vêtus à la façon traditionnelle des quartiers, grosse doudoune et pantalon de survêtement noir sur chaussettes blanches, réussissent cependant à s’évaporer avec leur butin qui avoisinerait les 10.000 € en matériels divers, dont la côte « tombée du camion » est infiniment moindre.
Les enquêteurs, qui ont rapidement entamé leurs recherches, pensaient dès hier matin pouvoir faire un premier lien avec une voiture retrouvée incendiée à hauteur du 120 rue de Chalezeule, vers 4 h du matin.

http://www.estrepublicain.fr/doubs/2013/05/16/carrefour-chalezeule-cambriole

mercredi 15 mai 2013

Beuvry : un bus en feu devant le collège Debeyre

Un bus a pris feu ce mercredi matin, vers 8 heures, devant le collège Albert-Debeyre à Beuvry, près de Béthune. Aucun passager ne se trouvait à bord et la conductrice n’a pas été blessée. Mais le feu a totalement détruit le véhicule malgré l’intervention des pompiers, sous les yeux des élèves qui arrivaient en cours.
La conductrice d’un bus scolaire arrivait au collège Albert-Debeyre, à Beuvry, quand on l’a alertée que de la fumée s’échappait du moteur à l’arrière. Elle est aussitôt sortie du bus, un autre chauffeur est arrivé avec un extincteur mais le feu a vite pris de l’ampleur et a gagné tout l’arrière du véhicule. Rapidement alertés, les pompiers de Béthune et Nœux voyaient déjà l’important nuage de fumée bien avant d’arriver sur place.
Le bus s’embrasant juste devant l’établissement scolaire et le vent poussant la fumée vers les bâtiments, l’équipe pédagogique a fermé portes et fenêtre et mis les élèves qui arrivaient en cours à l’écart, pendant que les soldats du feu éteignaient les flammes. Le bus de la société Tadao a malgré tout été entièrement détruit. Aucune victime n’est à déplorer, aucun élève ne se trouvait dans le bus et la conductrice n’a pas été incommodée par la fumée. Vers 10 heures, le garage Ratel était toujours sur place pour enlever l’épave du bus

http://www.lavoixdunord.fr/region/beuvry-un-bus-en-feu-devant-le-college-debeyre-ia30b0n1251017

Auch. Une camionnette heurte un poids lourds sur la rocade

La RN 124 a été fermée sur la commune d'Auch hier matin, vers 5 h 20. En cause, un accident de la circulation impliquant deux véhicules intervenu à hauteur du stop situé à proximité de l'hôtel Ibis et du rond-point des Justes. Selon les éléments recueillis sur place par les policiers du commissariat d'Auch, le conducteur d'une camionnette transportant des matières isolantes n'aurait pas respecté l'arrêt permettant d'emprunter la rocade. Ce dernier a heurté un semi-remorque de 44 tonnes, qui lui, transportait de la nourriture. Intervenus sur place, les pompiers et les policiers d'Auch n'ont constasté aucun blessé. La circulation a de nouveau été autorisé vers 6 heures.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/05/15/1626812-auch-une-camionnette-heurte-un-poids-lourds-sur-la-rocade.html

mardi 14 mai 2013

Biarritz : un incendie ravage un squat à Saint-Charles

L'alerte a été donnée vers 13 h 30. Des riverains ont vu des flammes et une épaisse fumée s'échapper du toit d'une maison située au 14 rue Albert 1er, dans le quartier Saint-Charles de Biarritz. Les sapeurs-pompiers du BAB sont intervenus immédiatement sur place avec d'importants moyens: deux fourgons pompe-tonne et une grande échelle, ainsi que des véhicules de secours aux blessés et asphyxiés. Personne n'était dans les lieux et n'aurait été blessé.
Le quartier a été également investi par de nombreuses forces de Police Nationale, des CRS ainsi que des policiers municipaux.Il est vrai que la maison qui a été touchée par le sinistre est défavorablement connue. Abandonnée et négligée par ses propriétaires depuis plusieurs années, suite à un conflit de succession, elle abrite des SDF et des jeunes, qui profitent du squat.

Tous ces occupants ne sont pas toujours très calmes. Des enquêteurs de la Police Nationale ont entrepris de rechercher des témoins et devront déterminer les causes du sinistre, probablement accidentelles. Une dame qui habite la rue a vu ces derniers jours pas mal d'activité dans la maison. Les squatteurs y entreposaient des vêtements et effets personnels et toutes sortes d'objets, bouteilles, etc.
Ces compagnons d'infortune cuisinaient également dans des conditions sommaires, sans életricité, ni gaz. Un feu de cheminée mal éteint ou une cigarette jetée dans un tas de papiers, tissus ou bois ont très bien pu également amorcer le feu.

http://www.sudouest.fr/2013/05/14/biarritz-un-incendie-ravage-un-squat-a-saint-charles-1053557-4037.php

Disparition inquiétante : enquête dans l'univers familial de Daniel

Un peu plus de quarante-huit heures après l'incendie qui a ravagé une partie de l'habitation de Daniel Sobol, un sexagénaire domicilié à Contescourt, les gendarmes de la compagnie de Saint-Quentin poursuivent leurs investigations pour retrouver le propriétaire.
On sait que l'homme vivait seul, au 10 rue de la Cité. Samedi après-midi, selon plusieurs témoins, Daniel Sobol, s'est mis au volant de sa Clio rouge. Quelques instants plus tard, les flammes commençaient à dévorer l'intérieur de son domicile. En fin de journée, la Clio était retrouvée non loin du canal de Saint-Quentin, à proximité du RD 32. Depuis, le retraité n'est pas réapparu.
Trois pistes
Qu'est-il arrivé à Daniel Sobol ? Pourquoi ce retraité des établissements La Couronne (Saint-Quentin) laisse t-il son entourage sans nouvelle ? Le sexagénaire a t-il attenté à ses jours ? « Nous travaillons sur toutes les pistes », confie l'adjoint au commandant de la compagnie de Saint-Quentin, le capitaine Jean-Mars Rozé. Toutes les pistes et notamment celle d'un suicide, d'un meurtre ou d'une simple fugue. « C'était quelqu'un qui ne cherchait pas querelle », assure un voisin. « Avec lui, c'était bonjour, au revoir ».
Daniel Sobol est d'origine polonaise. C'est un homme corpulent d'1,60 m aux cheveux bruns. Le logement qu'il occupait samedi encore était la maison familiale jusqu'au décès de ses parents, dans les années 80. C'est là que Daniel et son frère ont vécu, au 10 rue de la Cité. « Lorsque les parents sont disparus, Stanislas a acheté l'autre moitié de la maison, le 12. Au début, il n'en faisait rien. Et puis il s'est mis en ménage et s'est installé dans cette autre partie », explique un habitant de la commune. Stanislas a aujourd'hui deux filles. Il est lui aussi retraité de La Couronne.
« Comme d'habitude »
Nul ne l'ignore à Contescourt : Daniel, le disparu, et son frère étaient en conflit. « Daniel adore les chats. Il pouvait en avoir vingt. Il avait aussi des grands arbres. Son frère ne le supportait pas. Il y a eu quantité de plaintes à ce propos », témoigne un élu. « C'est un vieux garçon. Il avait ses habitudes. Samedi, on a cru qu'il partait faire ses courses, comme d'habitude », confie encore une voisine.
Au 12, dans la maison mitoyenne, l'épouse de Stanislas Sobol fuit les curieux. « On nous a dit de ne rien dire », concède-t-elle. « Il y en a qui ont déjà écrit n'importe quoi ! ». L'absence de Daniel reste pour l'instant mystérieuse. Des traces de sang auraient été retrouvées non loin de son véhicule, près du canal. Le sang du disparu ?

http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/disparition-inquietante-enquete-dans-lunivers-familial-de-daniel

Troisième blocage à la prison de Douai

Une vingtaine de personnes bloquaient ce matin les entrées et sorties à la maison d'arrêt de Douai (Nord) pour dénoncer la suppression des miradors en 2014, annonce les syndicats.

A l'origine, le syndicat FO pénitentiaire avait prévu de manifester devant le palais de justice de Douai, mais s'est finalement rabattu sur la distribution de tracts dans les rues en raison de la faible mobilisation, a expliqué Laurent Lefebvre, délégué local FO. "Mais lorsque nous nous sommes dirigés vers le rond-point où nous voulions distribuer les tracts, nous avons été gazés par les gendarmes. Nous avons donc décidé de bloquer la maison d'arrêt, ce qui n'était pas prévu au départ", a précisé M. Lefebvre.

A l'inverse, la gendarmerie affirme avoir dû utiliser une "petite bombe lacrymogène" car les grévistes refusaient de laisser passer un détenu devant être présenté à un magistrat. L'accès aux parloirs n'est cependant pas bloqué.

Le syndicaliste s'est dit déçu du peu de mobilisation: "tout le monde crie mais quand il faut passer à l'acte, personne ne bouge".

La direction de la prison n'a quant à elle pas souhaité s'exprimer.

Les travaux destinés à pallier la suppression à Douai des miradors, -- mise en protection du chemin de ronde, filets anti-projection, rénovation des murs avec système de caméras --, qui doivent commencer bientôt, ne satisfont pas le syndicat FO pénitentiaire.

Deux autres blocages de la maison d'arrêt ont eu lieu en avril, dont l'un après l'évasion spectaculaire de Redoine Faïd de Sequedin, autre prison du département.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/05/14/97001-20130514FILWWW00338-troisieme-blocage-a-la-prison-de-douai.php

lundi 13 mai 2013

Saint-Etienne : un Petit Casino braqué par deux filles mineures

Selon le parquet de Saint-Etienne, ce sont deux jeunes filles de 17 ans qui ont braqué à visage découvert un Petit Casino vendredi peu après 18 heures dans le quartier de La Terrasse à Saint-Etienne.
L’une des deux mineures, armée d’un couteau et d’un pistolet d’alarme, a menacé le gérant qui était à sa caisse, alors qu’une seule cliente était présente dans le magasin à ce moment-là. Le gérant a réussi à la maîtriser tandis que sa femme, qui était jusqu’alors dans l’arrière-boutique, appelait les secours.
La braqueuse présumée a été placée en centre éducatif renforcé. Sa complice, qui avait pris la fuite mais avait été interpellée le lendemain, a été placée sous contrôle judiciaire

http://www.leprogres.fr/loire/2013/05/13/saint-etienne-un-petit-casino-braque-par-deux-filles-mineures

Carhaix. Une roquette découverte dans une benne à ordures

Les éboueurs de Carhaix ont fait une drôle de découverte ce matin. Dans une benne à ordures de la place du Champ de foire, en centre-ville, se trouvait une roquette.
Les éboueurs ont trouvé la roquette cachée dans un sac plastique, intrigués par le bruit de l’engin. Une roquette est une arme de guerre, une fusée autopropulsée généralement utilisée dans les combats au sol, dans des lance-roquettes.
A priori inoffensive
Tout de suite alertés, les gendarmes sont venus inspecter la trouvaille. « À première vue, il s’agit d’une roquette d’exercice, en plâtre et inoffensive. On le voit car elle est peinte en bleu », indique la gendarmerie. Les trois séries de balles trouvées à côté sont elles aussi des balles à blanc, sans danger.
Par mesure de sécurité, la gendarmerie reste pour le moment sur les lieux, le temps d’obtenir un avis officiel de la préfecture. Impossible encore de dire comment cette arme - aussi inoffensive soit-elle - s’est retrouvée dans une poubelle du centre-ville.
 

Béligneux : un bar victime deux fois d’un incendie en deux jours

Le bar de nuit Le Fuego, anciennement la Taverne, situé route de Genève à la Valbonne sur la commune de Béligneux, a été l'objet de deux incendies dans la nuit de jeudi à vendredi puis dans la nuit de samedi à dimanche.
Le bar avait été victime d’un incendie dans la nuit de jeudi à vendredi, endommageant une partie de la toiture. Selon les constatations des gendarmes, l’incendie était manifestement volontaire, des tuiles ayant été enlevées et le départ de feu s’étant produit au niveau du faux plafond.

Un nouvel incendie s’est produit samedi vers 4h30, à l’intérieur du bar cette fois, dont l’intérieur a été en grande partie ravagé par les flammes. On ne connaissait pas encore ce matin l’origine de ce nouvel incendie


http://www.leprogres.fr/ain/2013/05/12/beligneux-un-bar-victime-deux-fois-d-un-incendie-en-deux-jours

dimanche 12 mai 2013

Une femme tente d'enlever un nourrisson

Une habitante de Monchy-Lagache a éprouvé une grande surprise le 2 mai dernier… Aux alentours de 9 h 30, la jeune mère âgée de 20 ans résidant dans un logement à proximité du centre-ville a quitté la chambre de son bébé âgé de 4 mois pour faire du ménage. Lorsqu'elle repasse devant la pièce, elle aperçoit alors une personne tenant son enfant dans les bras.
Lorsque cette dernière constate la présence de la maman, elle repose l'enfant dans son berceau et s'enfuit. « Nous n'avons trouvé aucune trace d'effraction », développe la gendarmerie de Péronne. Celle-ci participe en effet aux investigations menées depuis maintenant une semaine sous la direction de la gendarmerie de Ham. « Une trentaine de militaires sont mobilisés et travaillent d'arrache-pied pour retrouver l'auteur des faits. Les hommes réalisent un travail de porte à porte et de renseignement pour recueillir toute information susceptible de retrouver la personne concernée », précisent les autorités. Dans le cadre de cette enquête, la gendarmerie recherche tout témoignage de personnes qui auraient pu apercevoir une femme âgée de 35 à 50 ans - 1 mètre 60/70 - corpulence mince, cheveux blonds décolorés - châtains clairs avec queue de cheval - teint pâle - fumeuse - vêtue au moment des faits d'une veste noire à capuche et portant des gants en laine bleue. Cette personne serait susceptible de se déplacer avec un cyclomoteur ancien. Tout renseignement concernant cette affaire pourra être communiqué à la Gendarmerie de Ham (80) au 03 22 98 34 17 tous les jours de la semaine.

http://www.aisnenouvelle.fr/article/faits-divers-justice/une-femme-tente-denlever-un-nourrisson

Le château de Tilloy-lès-Conty ravagé par les flammes

Le château de Tilloy-lès-Conty, un village situé au sud d'Amiens, a pris feu ce dimanche matin. Les pompiers y passeront toute la journée, les dégâts sont très importants
Le feu a été très violent et a dévoré le toît et l'intérieur du château. personne n'a été blessé.
L'alerte a été donnée ce dimanche vers 6h40 par un sapeur pompier qui se rendait à la caserne d'Amiens pour prendre sa garde. L' homme a vu une colonne de fumée s'échapper de la toiture et a prévenu les trois occupants de la grande bâtisse qui date de la fin XXIIIe,

Feu très violent

Les pompiers de Conty étaient les premiers sur place, quelques minutes plus tard, mais le plancher du grenier était déjà tombé.
Très rapidement, les 250m² de toiture sont partis en fumée.
Trois lances et trois grandes échelles ont été déployées. Une quarantaine de pompiers, venus d'Amiens notamment, étaient sur le terrain ce dimanche matin.

L'opération durera toute la journée

L'extinction du feu est rendue compliquée par la quantité importante de bois et de torchis à l'intérieur du château. Les flammes ont ainsi pu se propager du haut vers le bas, grignotant tout entre les murs de pierre. Les pompiers prévoyaient ce dimanche matin d'arroser la bâtisse toute la journée, le vent important favorisant la reprise des nombreux poit chaud qui subsistent.

Un court circuit évoqué

Selon les premiers éléments de l'enquête, un court circuit au niveau du grenier pourait être à l'origine du sinistre. La famille Beauvillé a acquis ce château il y a une dizaine d'année environ.
Cette bâtisse, ancien fief des seigneurs de Croÿ n'est pas un monument classé, elle est néanmoins inscrite au patrimoine français.

http://www.courrier-picard.fr/region/le-chateau-de-tilloy-les-conty-ravage-par-les-flammes-ia0b0n78872

Bressols. Éva, 13 ans, victime du mortel jeu du foulard

C'était une jolie adolescente de 13 ans, scolarisée dans le collège Jean-Jaurès à Villebourbon. Elle a été enlevée à l'affection de toute sa famille jeudi en fin de soirée comme nous le révélions dès hier de la plus terrible des façons qui soit,en périssant asphyxiée suite à ce terrible jeu dit du foulard. Ce jeudi pluvieux de l'Ascension s'achève. Dans un petit pavillon d'un lotissement non loin du centre de Bressols la famille regarde la télé. Eva un des trois enfants du couple se lève et rejoint sa chambre au rez-de-chaussée qu'elle partage avec sa petite sœur d'un an sa cadette pour achever les devoirs car le lendemain (hier) il y avait cours au collège. Au bout d'un certain temps, n'entendant plus de bruit, la maman qui est infirmière se lève et va voir ce qui se passe dans la chambre.

L'autopsie confirme la mort par asphyxie

Avec effroi elle découvre sa fille cyanosée au bas du montant d'un double lit superposé aux armatures métalliques, un foulard accroché. Elle donne aussitôt l'alerte en direction des sapeurs-pompiers et du SAMU 82 et, en attendant leurs arrivées, pratique des massages cardiaques et respiratoires sur le corps de sa fille. La médecin du SAMU prend le relais mais vers 19 heures le pire devient totalement réalité. La jeune fille ne peut-être ramenée à la vie. Le décès est constaté et le corps est transporté à l'institut médico-légal de Toulouse-Rangueil pour une autopsie. Celle-ci est effectuée hier matin. L'examen du corps confirme la mort par asphyxie et la dépouille est rendue à la famille dans la journée.

Cellule psychologique au collège Jean-Jaurès dès lundi matin

Dans le collège de Montauban, dès lundi matin une cellule psychologique sera mise en place pour la classe de quatrième dans laquelle Eva était scolarisée. Mais ce n'est pas que la trentaine de camarades d'études de l'adolescente qui sera dirigée vers cette cellule. Les autres sections de quatrième le seront aussi. Car depuis hier matin, via facebok et les réseaux sociaux, nombre de collégiens savent que le pire est arrivé. Ce pire qui depuis le début des années 2000 se solde par au moins un mort d'adolescent chaque mois rien qu'au travers du jeu du foulard. Dont la pratique la plus nocive se situe dans les cours de récréation et hélas parfois aussi au domicile. Jeudi soir, pourtant rien ne laissait entrevoir que ce jeu allait être testé de la plus horrible des façons par une jeune fille de 13 ans juste derrière la cloison de la salle de séjour où toute la famille était réunie.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/05/11/1623424-eva-13-ans-nouvelle-victime-du-mortel-jeu-du-foulard.html

samedi 11 mai 2013

Marseille : deux prostituées accusent un homme d'enlèvement

Un employé de préfecture à Marseille était en garde à vue samedi dans les Pyrénées-Orientales après avoir été accusé par deux prostituées d'un enlèvement qu'il dément.
Un employé de préfecture à Marseille était en garde à vue samedi dans les Pyrénées-Orientales après avoir été accusé par deux prostituées d'un enlèvement qu'il dément, selon une source judiciaire.
L'homme a été interpellé samedi après avoir franchi la frontière en voiture, avec à son bord deux prostituées qu'il avait fait monter à la Jonquère, une ville située du côté espagnol de la frontière qui s'est fait un nom pour le tourisme sexuel, surtout chez les voisins français.
Les prostituées ont semble-t-il réussi à donner l'alerte et ont déclaré aux enquêteurs français que l'homme leur avait fait franchir la frontière contre leur gré. Ce dernier a été interpellé puis placé en garde à vue.
Il dément toute tentative d'enlèvement et dit avoir été victime d'un malentendu avec les prostituées, selon une source judiciaire. L'homme explique avoir proposé à celles-ci de consommer la transaction dans un hôtel français mais s'être rendu compte trop tard qu'elles n'avaient pas compris qu'il comptait leur faire franchir la frontière.
 

lundi 29 avril 2013

Vol de quads : le cambrioleur trahi par son ADN

Les gendarmes de Dormans ont arrêté cette semaine l'un des auteurs du cambriolage du magasin Champ'Aventure le 25 juillet 2012 à Œuilly.
Un Rémois de 28 ans vient d'être condamné à six mois de prison avec sursis, peine assortie d'une mise à l'épreuve de deux ans. L'homme a reconnu être l'auteur d'un cambriolage perpétré dans la nuit du 25 juillet 2012 chez Champ'Aventure situé au lieu-dit La Pierre-qui-Tourne à Oeuilly.
Vers 3 heures, ce jour-là, plusieurs individus réussissent à se glisser derrière le bâtiment de cette enseigne vendant des quads, du matériel de motos ainsi que des vêtements. Une action facilitée par le caractère isolé du magasin qui se situe en bordure de l'A3, dans un lieu-dit déserté en journée.
Un blouson abandonné sur place
Sans doute animés d'intention malveillante, ils se sont introduits dans le bâtiment en passant par le toit. Là, ils ont réussi à dérober 3.000 euros en espèces, des casques et des vêtements. Mais surtout, ils ont fait main basse sur trois quads que leurs propriétaires avaient laissés pour des réparations.
L'un des trois engins sera d'ailleurs retrouvé le lendemain, sur le bord de l'A3 à 150 mètres des lieux du cambriolage. En tentant de le démarrer, les cambrioleurs avaient alors grillé le moteur.
En effectuant les investigations d'usage dès le lendemain, les gendarmes de Dormans ont retrouvé un blouson que l'un des cambrioleurs avait oublié sur place. Des prélèvements ont été effectués sur le vêtement et envoyés dans un laboratoire. Les résultats qui sont revenus cette semaine ont donné un nom.
Parce qu'il avait été déjà arrêté dans le cadre d'une affaire précédente, les empreintes et l'ADN d'un Rémois de 28 ans avaient été enregistrées par gendarmes. L'homme était désormais fiché, il suffisait alors de trouver l'adresse qui allait avec.
L'enquête s'est poursuivie mercredi dernier par l'arrestation du jeune homme à son domicile de Reims. Parallèlement, une perquisition a été menée chez lui mais qui s'est révélée négative. Aucun des objets volés le 25 juillet dernier n'a été retrouvé.
Placé en garde à vue dans les locaux de la gendarmerie de Dormans, l'homme n'a fait aucune difficulté pour reconnaître les faits qui lui étaient reprochés. En revanche, le Rémois s'est mué dans un silence total lorsqu'il a été question de donner le nom de ses complices.
Présenté au Parquet de Châlons-en-Champagne le jour même, l'homme a fait l'objet d'une procédure de comparution en reconnaissance préalable de culpabilité (plaider-coupable) qui l'a condamnée à six mois de prison avec sursis. Il devrait en outre dédommager les quatre victimes qui avaient déposé plainte : le propriétaire du magasin, aujourd'hui fermé et les trois propriétaires des quads.
Ses complices, eux, courent toujours…

http://www.lunion.presse.fr/article/marne/vol-de-quads-le-cambrioleur-trahi-par-son-adn

dimanche 28 avril 2013

Barbezieux (16) : une collision sous le nez d'un gendarme

Pas de chance pour ce sexagénaire habitant le Sud Charente. Vendredi soir, peu avant 19h30, alors qu'il circulait en cyclomoteur avenue Nelson-Mandela à Barbezieux, il a percuté par l'arrière une voiture qui se trouvait à un stop.
La scène s'est déroulée sous les yeux d'un gendarme, en quartier libre. Il a constaté que le cyclomotoriste était sous l'emprise de l'alcool, ce qu'a confirmé le dépistage positif à l'éthylotest. L'homme n'a pas réussi à souffler dans l'éthylomètre, et en a été quitte pour une prise de sang effectuée à l'hôpital de Barbezieux, afin de déterminer son taux d'alcool.

L'accident, lui, n'a provoqué que de légers dégâts matériels. La compagnie de gendarmerie de Cognac en profite pour rappeler qu'une intensification des contrôles autour de l'alcool et des stupéfiants est à nouveau prévue ce week-end.

http://www.sudouest.fr/2013/04/27/barbezieux-16-une-collision-sous-le-nez-d-un-gendarme-1038101-1179.php

samedi 27 avril 2013

Orthez (64) : deux routiers condamnés pour avoir siphonné l'essence d'un collègue

La comparution immédiate devant le tribunal correctionnel de Pau, hier, aura eu le mérite de dévoiler un pan des conditions de vie de ces routiers venus de l’Est, qui sillonnent, de plus en plus nombreux, l’Europe. Des salaires de 400 à 800 euros par mois, selon leurs déclarations, et des périples qui peuvent durer plus d’un mois avant de rentrer chez eux.
C’est en tout cas ce qu’ont raconté hier à la barre Toma et Dorel, décrivant ce qui les a amenés à se faire « pincer », mercredi, vers 1 h 30 du matin, par les gendarmes, en flagrant délit de siphonnage d’un camion espagnol conduit par un collègue belge.

C’était à l’aire autoroutière Haut-de-Départ, à Orthez. Depuis le début de l’année, les gendarmes du peloton motorisé d’Artix avaient remarqué que cette aire, comme d’autres ailleurs sur l’A 64, enregistrait une recrudescence de vols. Toujours les mêmes nuits, entre le mardi et le mercredi.
Les militaires ont alors tendu une « souricière », dans laquelle sont donc tombés les deux routiers.
L’un, Dorel, 36 ans, annonce plusieurs années de trajets internationaux derrière lui, mais ne travaillait pour son nouveau transporteur roumain que depuis quatre mois.
L’autre, Toma, 48 ans, conduisait des camions, mais en Roumanie, avant de se lancer dans la carrière des routiers « TIR » voilà un mois et demi. A la date de leur départ pour d’innombrables destinations et aller-retour entre la France, l’Espagne, l’Italie, sans repasser par la case Roumanie, où ils possèdent tous deux femme et enfant. A la barre, et via leur interprète, ils assurent que c’est la première fois qu’ils se sont essayés au siphonnage d’autres collègues, une pratique de plus en plus répandue. Mais le président Magnon leur rappelle avec quelle dextérité Dorel a débranché la sonde du camion d’un collègue qui dormait dans sa cabine, avant de brancher une pompe électrique reliée au réservoir de son propre camion. Le genre de pompe qui n’est pas garantie constructeur, mais qui a permis de délester en toute discrétion 500 litres (selon la victime) de gasoil en cinq à sept minutes. Le tout sous l’oeil des gendarmes qui ont interpellé les deux routiers peu après.
« Pression »
L’utilisation d’une telle pompe sophistiquée, la coïncidence des faits, toujours la même nuit, sur la même aire, pourraient faire peser des soupçons plus graves sur les deux chauffeurs. Lesquels nient, expliquent qu’ils ont sillonné ces dernières semaines l’Europe du Sud, de Bordeaux à Lille en passant par Valladolid ; et qu’ils ont été réduits à cette rapine alors qu’ils devaient rentrer « au plus vite » à Bucarest sur ordre du patron, alors qu’ils avaient le réservoir vide, et pensaient que leur carte de carburant était épuisée.
C’est cette « pression » décrite par leur avocate, Me Lacassagne, qui les aurait donc conduits au vol. Le tribunal les a condamnés à quatre mois de prison avec sursis, tenant surtout compte du fait qu’aucun des deux n’a jamais été condamné, en France, ni en Roumanie. Ils ont pu rentrer chez eux, mais pas au volant du camion, que leur employeur devra venir chercher.

http://www.sudouest.fr/2013/04/26/deux-routiers-siphonneurs-1036603-4329.php

vendredi 26 avril 2013

Bordeaux : six contrôleurs de Keolis agressés dans le tramway

Dimanche vers 17 heures, six contrôleurs de Keolis descendaient du tramway à la station des Aubiers pour changer de rame lorsqu’ils ont été pris à partie par un groupe de jeunes. Ils ont subi insultes, menaces et jets de projectiles.
Ils sont alors montés dans le tramway qui arrivait au même moment. Des canettes et des bouteilles ont alors été lancées contre le wagon où ils se trouvaient. Lorsqu’un contrôleur a voulu descendre pour faire cesser l’agression, d’autres jeunes ont rejoint le groupe initial. De nouveau, des projectiles ont été lancés. Personne n’a cependant été touché. À l’arrivée des policiers qui avaient été alertés, tout le monde s’est dispersé.

Keolis et les contrôleurs agressés ont déposé plainte auprès du commissariat central de Bordeaux et une enquête a été ouverte par la brigade des violences de la Sûreté départementale afin de retrouver les auteurs de cette agression qui a duré plusieurs minutes.
Les enquêteurs ont visionné toutes les images des caméras du tramway et de la station des Aubiers et recueilli les témoignages des contrôleurs.
Des investigations qui leur ont permis d’identifier les deux principaux acteurs de ce déchaînement de violence. Ils ont été interpellés hier matin et conduit dans les locaux de la brigade des violences. Là, ils ont tous les deux été reconnus par leurs victimes. Âgés de 16 et 18 ans, ils ont été remis en liberté à l’issue de leur garde à vue, avec en poche une convocation par officier de police judiciaire devant le tribunal correctionnel.

http://www.sudouest.fr/2013/04/25/six-controleurs-de-keolis-agresses-1035161-2780.php

jeudi 25 avril 2013

Libourne : cinq personnes arrêtées après l'agression d'un jeune homme

Ce mercredi matin, à 7 heures, une trentaine de gendarmes sont intervenus dans trois points différents de la ville. Ils ont arrêté cinq personnes soupçonnées d'être les auteurs de la violente agression dont a été victime un jeune homme vendredi dernier.
Ce jour-là, à 23h30, la patrouille alertée par des témoins découvre la victime allongée sur le sol rue Etienne-Sabatié, le visage tuméfié, dans un état grave qui nécessitera son transport à l'hôpital Pellegrin à Bordeaux.

Les différents témoignages recueillis sur place, ainsi que des relevés d'identité pris alors qu'il se rendaient sur les lieux de l'agression, ont permis aux gendarmes de la brigade des recherches de Libourne à qui l'affaire a été confiée, de remonter rapidement la piste des agresseurs.
Ce matin donc, les militaires du peloton de surveillance et d'intervention, casqué et munis de gilet pare-balle, soutenus par ceux de la compagnie de Libourne, se sont déployés rue Thiers, rue du docteur Moïzès, et cité Garderose.
Les cinq personnes, dont certaines déjà connues pour leur violence, ont été placées en garde-à-vue. Il reste aux enquêteurs maintenant à éclaircir les circonstances encore floues qui ont abouti au passage à tabac du jeune homme. Celui-ci, atteint de la maladie de Gilles de Tourette, souffre de contusions multiples dont une fracture de la mâchoire pour laquelle il a dû subir une opération.

http://www.sudouest.fr/2013/04/24/libourne-cinq-personnes-arretees-apres-l-agression-d-un-jeune-homme-1034817-2966.php

mercredi 24 avril 2013

Saint-Médard-en-Jalles : Leclerc évacué suite à la découverte d'un sac suspect

Il n’y a pas eu de panique mais c’est bel et bien une grenade que les démineurs ont neutralisée, hier, en milieu de matinée, dans la galerie marchande du centre Leclerc de Saint-Médard-en-Jalles. Certes, il s’agit d’une grenade d’exercice, mais elle avait été repeinte en noir et pouvait présenter un réel danger en cas de manipulation.
C’est un agent de sécurité qui a vu, peu après l’ouverture des portes, vers 9 heures, un sac plastique déposé dans une jardinière. Il s’est approché et a aperçu la grenade. Il a aussitôt avisé la direction de l’hypermarché qui a prévenu les gendarmes.

Les clients ont été invités à sortir du magasin pour rejoindre le parking. Un périmètre de sécurité a été établi dans la galerie marchande, passée au peigne fin par les gendarmes.
Les démineurs de la sécurité civile ont récupéré l’engin et l’ont neutralisé tandis que les gendarmes de la brigade de Saint-Médard veillaient à tenir les clients éloignés.
Ces derniers ont pu à nouveau pénétrer dans l’hypermarché vers 11 heures tandis que les enquêteurs de la brigade des recherches de la compagnie de Bordeaux-Bastide et ceux de la Cellule d’investigation criminelle (CIC) procédaient à de minutieux relevés pour tenter de retrouver le propriétaire du sac. Des bandes de vidéosurveillance ont également été saisies et vont être visionnées au cours des prochaines heures.
http://www.sudouest.fr/2013/04/23/sac-suspect-decouvert-le-centre-leclerc-evacue-1032823-3145.php

mardi 23 avril 2013

Seringues sur les berges du canal : la polémique

Ce n'est pas la première fois que le sujet s'invite sur le devant de la scène. En plein cœur de la torpeur aoûtienne, il y a 8 mois, le «réseau fluvial toulousain» alertait déjà sur l'insalubrité des abords de l'écluse Bayard, face à la gare Matabiau. Depuis, selon ce groupe d'usagers et d'amoureux de la portion toulousaine du canal, rien n'aurait changé. Les seringues, utilisées selon toute vraisemblance pour la consommation de drogue, jonchant le sol, sont particulièrement montrées du doigt. «Ce matin (hier, N.D.L.R), j'en ai compté une douzaine», assure Pierre Cardinale, l'une des voix du regroupement qui tire la sonnette d'alarme. Elles sont sur les escaliers et la passerelle. C'est un point de passage. C'est gravissime. Les enfants peuvent se blesser», peste-t-il.
Sur place, en effet, une dizaine de seringues usagées, gisaient encore hier après-midi, sur les escaliers qui descendent vers le canal des deux côtés de l'écluse. Sans compter les innombrables cannettes et autres détritus sur les marches et les espaces verts. «Les abords de l'écluse sont la toute première salle de shoot toulousaine à ciel ouvert», pointe, avec l'ironie du désespoir, Pierre Cardinale. Un constat partagé par certains bateliers. «Quand on passe, on voit une fois sur deux des gens en train de se piquer», relate Christian Delmas capitaine de la péniche «Baladine» et gérant des «bateaux toulousains». À quelques mois d'accueillir le 26e Congrès mondial des canaux et voies navigables, le «réseau fluvial toulousain» prévient : «attention à ne pas nous tirer une seringue dans le pied». Voilà qui est dit. La gestion des infrastructures de l'écluse est du ressort de VNF (Voies Navigables de France), le nettoyage des espaces verts et de la chaussée est une mission de la communauté urbaine. Le premier opérateur, ne souhaitait, hier, faire de commentaire sur le sujet. «C'est un danger sanitaire», considère en revanche Alexandre Marciel, adjoint au maire en charge de la propreté. «Cela prouve l'urgence d'avoir un interlocuteur unique pour nettoyer ces espaces. Le travail est déjà engagé entre les différents services de la communauté urbaine, de l'État, de VNF et les associations compétentes. Le projet, c'est d'avoir un pilote qui aura les moyens de coordonner les actions avec des moyens humains et matériels pour intervenir avec régularité», ajoute-t-il. «Je réaffirme la nécessité d'aller très vite là-dessus», poursuit l'élu, assurant aussi qu'un travail de fond est aussi mené par Monique Durrieu, l'adjointe au maire en charge de la santé publique, sur la problématique de la drogue.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/04/23/1612247-seringues-sur-les-berges-du-canal-la-piqure-de-rappel.html