lundi 16 mai 2016

Escroquerie à la sécurité sociale : 2 médecins et une secrétaire médicale mis en examen

 

mardi 10 mai 2016

Couple retrouvé mort à Brantôme (24) : le conducteur victime d'un malaise

L'octogénaire britannique décédé avec son épouse vendredi avait perdu le contrôle de sa voiture, qui a plongé dans la Dronne
Vendredi, un couple de Britanniques de 86 et 84 ans installé à Paussac-et Saint-Vivien est mort dans sa voiture dans la Dronne, après une fatale sortie de route au lieu-dit La Côte à Brantôme.
L'examen de corps pratiqué ce week-end sur les victimes laisse supposer que l'octogénaire au volant a été victime d'un malaise cardiaque ou neurologique avant de perdre le contrôle de son véhicule.

Résidence secondaire

Richard et Mary Lucas avaient acquis une résidence secondaire à Paussac-et-Saint-Vivien il y a plus de vingt ans et y séjournaient deux à trois mois par an. « Ils étaient très appréciés de leur voisinage et ne manquaient pas de participer aux manifestations organisées dans la commune », commentait lundi le maire, Jean-Pierre Desvergne.
Celui-ci a pu rencontrer les fils des victimes, venus spécialement à l'annonce du drame. Selon eux, Richard Lucas avait subi une visite médicale peu de temps avant de venir en France, afin de renouveler son autorisation de conduire pour trois ans, une procédure obligatoire en Grande-Bretagne à partir de 70 ans. Aucun problème n'avait été diagnostiqué.
Les corps des deux Britanniques devraient être rapatriés ce mardi en Angleterre pour y être inhumés.
http://www.sudouest.fr/2016/05/10/brantome-24-le-conducteur-victime-d-un-malaise-2357464-1755.php

lundi 9 mai 2016

Ivre, il percute la voiture d'une femme enceinte à Revin

Dans la nuit de samedi à dimanche, aux alentours de deux heures du matin, un accident de la circulation s’est produit sur le pont de Fumay à Revin. Un Revinois d’une trentaine d’années, fortement alcoolisé, circulait à vive allure dans le sens Fumay-Revin. À bord du véhicule, se trouvaient ses deux jeunes enfants.
L’homme aurait d’abord perdu le contrôle de sa voiture avant de venir percuter le trottoir du virage situé à l’entrée du pont. Le trentenaire a continué sur sa trajectoire et a fini par emboutir un véhicule, conduit par une femme enceinte, qui circulait en sens inverse sur le pont. Choquée, la victime a bénéficié de cinq jours d’ITT (incapacité totale de travail). Le chauffard s’est d’abord arrêté, puis, n’estimant probablement pas les pourparlers à son goût, il est remonté à bord de son véhicule avant de repartir sans qu’aucun constat n’ait été dressé.
Sa course ne sera toutefois pas très longue, puisqu’il a rapidement été intercepté par les gendarmes de Revin, non loin de là, dans la rue Gambetta alors qu’il tentait vraisemblablement d’abandonner sa voiture. Lors de son interpellation, l’individu a opposé de la résistance aux militaires, blessant d’ailleurs l’un d’eux au doigt. Refusant de se soumettre au test d’alcoolémie, une prise de sang a été effectuée. Placé en garde à vue, l’homme a été relâché hier soir et sera prochainement convoqué par la justice
http://www.lunion.fr/node/720695

Il cambriole chez un ancien policier bordelais de 80 ans... qui le prend en chasse

Âgé de 80 ans, le policier à la retraite n'a pas hésité à poursuivre son cambrioleur, qui a finalement été interpellé
L'homme s'était introduit dans la maison par la baie vitrée. Avant de tomber nez-à-nez avec le propriétaire, un ancien policier bordelais de haut rang, aujourd'hui à la retraite. Le retraité âgé de près de 80 ans ne s'est pas laissé impressionner et s'est lancé à la poursuite du voleur.
Celui-ci a enfourché un scooter. Mais le vieil homme a réussi à déséquilibrer le deux-roues. L'homme a finalement été interpellé par la police. Il devrait être jugé ce lundi dans le cadre d'une procédure de comparution immédiate. 
http://www.sudouest.fr/2016/05/08/il-cambriole-chez-un-ancien-policier-qui-le-prend-en-chasse-2355193-2780.php

samedi 7 mai 2016

VOSGES Un Amiénois dans un état grave après un accident d’autogire à Gérardmer

Un autogire s’est écrasé ce vendredi en fin de matinée sur les hauteurs de Gérardmer, rapporte Vosges matin. Dans l’appareil, deux hommes ont été gravement blessés.
L’un d’eux est un médecin ORL d’Amiens âgé d’une cinquantaine d’années. Resté prisonnier de la carcasse de l’appareil, il a été plus gravement touché que le pilote. Devant la gravité de ses blessures, il a été décidé d’hélitreuiller l’Amiénois grâce à l’intervention du Dragon 67. Soignée un long moment sur le stade à bord de l’hélicoptère, la victime inconsciente a ensuite été héliportée et admise à l’hôpital de Colmar.
Selon Vosges matin, il semblerait que les deux hommes (un Belge et un Français) prenaient des photos aériennes du lac et ses environs. Ils avaient décollé de l’aérodrome de Remomeix et devaient atterrir à Belfort. Pour l’heure, les circonstances de l’accident ne sont pas connues. Les deux hommes ont-ils été distraits ou victimes d’une avarie au niveau de l’appareil ? L’enquête le déterminera.
http://www.courrier-picard.fr/region/vosges-un-amienois-dans-un-etat-grave-apres-un-accident-ia201b0n772594

Charente : il croise par hasard son ancien propriétaire et le frappe au visage

L'homme n’avait pas supporté d’être poursuivi en justice par son ex-propriétaire en 2014.
Frédéric, 28 ans, a la rancune tenace. Quand en septembre 2014, le tribunal correctionnel d'Angoulême l'a condamné à s'acquitter de ses loyers impayés et à rembourser les dégradations commises dans le domicile de son propriétaire à hauteur de 2963,17 €, Frédéric a vu rouge. Alors quand mercredi, par hasard, il croise à Champagne-Mouton son ex-propriétaire âgé de 71 ans, son sang n'a fait qu'un tour. « Vous vous êtes jeté sur lui, vous l'avez insulté, frappé de dix coups de poings au visage et vous lui avez exigé d'écrire une attestation comme quoi il retirait sa plainte et renonçait au 3 000 euros que vous lui deviez », rappelle le président du tribunal vendredi, lors de son audience en comparution immédiate.

En récidive

Frédéric a aussi un sens aigu des termes de violences. Il n'a pas mis des coups de poing mais « des calottes ». Calottes qui ont tout de même étourdi le septuagénaire qui s'est vu prescrire quatre jours d'ITT. « Ce n'était pas du tout prémédité. Je regrette. Faut que je me fasse soigner pour mes nerfs. »
Ses nerfs, ils ont souvent lâché. Déjà en 2012, lorsqu'il avait détruit le bien d'autrui par représailles. Son casier fait état de dix mentions. C'est donc dans le cadre de la récidive légale qu'il comparaissait hier. « J'ai eu de mauvaises fréquentations. Maintenant, j'ai ma petite famille, promet-il. En prison, ce n'est pas ma place. Je préfère être dehors. » La procureur, elle, juge la « justice du plus fort » et requiert dix mois de prison dont cinq avec sursis. Le tribunal l'a condamné à six mois dont cinq avec sursis, mise à l'épreuve pendant deux ans, obligation de soins et interdiction d'entrer en contact avec son ex-propriétaire. Ce dernier, absent lors de l'audience, ne s'était pas porté partie civile et ne réclamait aucun dédommagement financier. Sans rancœur...
http://www.sudouest.fr/2016/05/07/le-locataire-violent-un-mois-en-prison-2354084-813.php
 

vendredi 6 mai 2016

Hauts-de-Seine: Nouveau règlement de compte dans la cité du Petit-Colombes

Jeudi peu avant 17h30, une fusillade a éclaté dans le quartier sensible du Petit-Colombes à Colombes dans les Hauts-de-Seine. Les coups de feu ont été tirés de l’intérieur d’une voiture venant du boulevard Charles-de-Gaulle où elle circulait à vive allure avant de ralentir au croisement avec la rue des Côtes d’Auty, à hauteur d’un petit groupe d’homme.

« Ils ont vraiment arrosé »

Là, la vitre s’est baissée et plusieurs détonations ont retenti, rapporteLe Parisien. Trois hommes tombent à terre. Ils sont emmenés peu après au centre hospitalier de Colombes, non loin de là, sans que leurs jours soient en danger. Les tireurs auraient utilisé un pistolet et, « au vu du nombre de douilles qui ont été retrouvées au sol, ils ont vraiment arrosé », commente une source proche du dossier cité par Le Parisien.
Ces tirs s’ajoutent à la liste des règlements de compte qui ont frappé à plusieurs reprises le Petit-Colombes, haut lieu du trafic de drogue. En septembre 2013 Manuel Valls, alors ministre de l’Intérieur, avait classé le quartier en zone de sécurité prioritaire (ZSP).
http://www.20minutes.fr/dossier/faits_divers

Vosges : deux blessés graves dans un crash d'ULM

Un crash d’ulm s'est produit ce vendredi 6 mai 2016, peu avant midi près de Gerardmer dans les Vosges, à proximité d’un site bien connu des randonneurs, près de l’observatoire de Mérelle.

Deux personnes, âgées d'une cinquantaine d'années, étaient à bord de l’appareil. Elles sont grièvement blessées et polytraumatisées. Elles prenaient des photos du lac de Gerardmer, situé à proximité de l'observatoire, lorsqu'elles se sont crashées.

Entre 25 et 30 sapeurs-pompiers et gendarmes sont sur place. L’endroit du crash, très boisé, va nécessiter une intervention par hélicoptère.

L’identité des deux hommes n’est pas encore connue. Ils ont été pris en charge, peu avant 14 heures, au CHU de Nancy et de Colmar.

L'altitude de vol apparemment trop basse serait à l'origine de l’accident.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/lorraine/vosges

jeudi 5 mai 2016

Allanche : un premier corps calciné retrouvé dans les décombres

Depuis lundi, un couple de clermontois avait disparu après l'incendie de sa maison à Maillargues, un petit hameau de la commune d'Allanche, dans le Cantal. La demeure en pierre du XIXe siècle avait été entièrement détruite sous la violence de l'incendie et les pompiers, alertés par un voisin à 5 heures du matin, n'avaient pu que constater les dégâts et éviter la propagation des flammes.

Depuis, les brigades de recherche et les techniciens en identification criminelle de la gendarmerie d'Aurillac recherchaient dans les décombres une preuve de la présence ou non du couple de propriétaire sur les lieux au moment du drame. Et c'est cette preuve qui a été découverte mercredi après-midi, notamment grâce à la présence d'une équipe cynophile venue en renfort du Lot.

Un premier corps calciné a donc été trouvé. Il a été transféré à l'institut médico-légal de Clermont-ferrand pour identification. L'enquête reste néanmoins ouverte, et les investigations continuent pour retrouver la seconde dépouille, mais aussi pour découvrir les causes de cet incendie, puisque, pour l'instant, aucune piste n'est écartée.

L'hypothèse selon laquelle le couple de clermontois avait été enseveli dans l'effondrement de la maison était privilégiée par les enquêteurs depuis le début de l'affaire. Les propriétaires, un couple de clermontois tombé amoureux du coin avait acheté cette résidence secondaire il y a à peine 6 mois pour pouvoir venir y pêcher le week-end. Depuis lundi, ils n'avaient donné aucune nouvelle, étaient injoignables, et surtout, leur véhicule était toujours stationné dans le garage juste en face de la maison.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne/cantal

mardi 19 avril 2016

Une mère et son fils de 6 ans tués dans une collision à Cestas (33)

Un autre petit garçon, âgé de 9 ans, se trouvait à bord. Il a été hospitalisé dans un état préoccupant 
Un dramatique accident est survenu ce lundi après-midi avenue Mademoiselle de la Harpe, à Cestas, en Gironde. Une mère de famille de 39 ans qui circulait en voiture avec ses deux fils de 6 et 9 ans abordait un rond point quand son véhicule a été heurté par la voiture qui les suivait.
Le choc a été particulièrement violent puisqu'il a projeté la petite voiture de la famille contre un mur. Celle-c-s'est retrouvée prise en étau entre les restes du mur et le véhicule du chauffard, venu s'écraser contre elle.
Les secours n'ont rien pu faire pour sauver la mère et son fils de six ans. Le garçonnet de 9 ans a été transporté d'urgence au CHU de Pellegrin dans un état préoccupant.
Légèrement blessé l'automobiliste a été placé en garde a vue.
http://www.sudouest.fr/2016/04/18/une-mere-et-son-fils-de-6-ans-tues-dans-un-accident-a-cestas-33-2334537-2833.php

Il menace sa psychiatre : "Je vais rafaler tout le monde"

L e Nîmois est condamné à 30 mois d'emprisonnement dont 12 mois avec sursis et maintenu en détention. Il a l'interdiction d'entrer en contact avec le médecin psychiatre.
Ce 4 février dernier à Nîmes, les menaces proférées au téléphone par Mohamed ont semé la panique au centre hospitalier universitaire (CHU) Carémeau de Nîmes. "Je vais rafaler et tuer tout le monde" assure ce Nîmois, multipliant les appels au secrétariat du service psychiatrie et au commissariat de police. Mohamed vise plus particulièrement un médecin psychiatre qui, selon lui, a refusé "de le garder" dans ses services.
"Je sais où vous habitez. Je vais faire un carnage. J'ai monté une équipe et bourré une voiture"
"J'ai suivi ta famille et ta fille, annonce Mohamed. Je sais où vous habitez. Je vais faire un carnage. J'ai monté une équipe et bourré une voiture. On va la faire exploser avec mon équipe. Je vous laisse moins de 10 minutes. Tuez-moi, je n'ai rien à perdre", poursuit le jeune homme s'adressant aux policiers. Alors qu'il se prépare à rejoindre le CHU, il est rapidement localisé par son téléphone portable et interpellé dans le secteur du chemin de Lauze. De bombe et de voiture piégée, heureusement, il n'y avait pas.

Une altération du discernement

"Je n'étais pas bien, a expliqué Mohamed lundi 18 avril, devant le tribunal correctionnel. Je ne me rendais pas compte. J'étais tellement frustré. Ils ne voulaient pas me garder. Je ne savais pas quoi faire." Laurence Dorlhac, la représentante du parquet qui a retenu une altération du discernement, a requis quatre ans de prison dont un an avec sursis assorti d'une mise à l'épreuve. Défendu par Me Khadija Aoudia, le Nîmois a été condamné à 30 mois d'emprisonnement dont 12 mois avec sursis et maintenu en détention. Il a l'interdiction d'entrer en contact avec le médecin psychiatre.

Un précédent à l'école Henri-Wallon

Mohamed, 20 ans, a déjà fait parler de lui en 2013 à l'école Henri-Wallon à Pissevin. Très perturbé, le Nîmois alors âgé de 17 ans et armé d'un couteau avait pris en otages les petits élèves de CM1 et CM2 et leur instituteur. Là encore, il avait annoncé qu'il allait faire exploser une bombe. Le jeune homme avait été interpellé, mis en examen et était depuis suivi par un psychiatre. Accusé de prise d'otages dans un établissement scolaire, il comparaîtra le 6 et 7 juin prochains devant la cour d'assises des mineurs.

http://www.midilibre.fr/

lundi 18 avril 2016

Accident de la circulation mortel à Bordeaux

Une mère de 39 ans et son fils de six ans sont décédés lundi dans un accident de la circulation près de Bordeaux, tandis que son deuxième fils a été hospitalisé dans "un état critique", ont indiqué les pompiers et les gendarmes. Le véhicule de la famille, une Renault Twingo, a été percuté par l'arrière, peu après 15 heures, par un autre véhicule alors qu'il s'apprêtait à s'engager dans un rond-point à Cestas (Gironde). La Twingo a été projetée contre le mur d'enceinte d'une propriété et l'autre véhicule, une puissante berline, est à nouveau venu s'encastrer en elle.

La mère de 39 ans et son premier fils de six ans sont décédés. Son autre fils, âgé de neuf ans, a été transporté dans "un état critique" au CHU de Bordeaux. Le conducteur du véhicule en cause, un homme de 51 ans, n'a été que légèrement blessé dans l'accident. Il a été placé en garde-à-vue. En 2014, la mortalité routière en France est repartie à la hausse pour la première fois en douze ans (3.384 morts, +3,5% par rapport à 2013). En 2015, cette tendance s'est poursuivie avec 3.464 tués (+2,4% par rapport à 2014), plaçant la France sur deux années consécutives de hausse, une première depuis 35 ans

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

"C'était une véritable boucherie" : un chirurgien poursuivi pour homicide

Dans le Cher, un sexagénaire "en bonne santé" est décédé après une opération banale de la prostate. Selon ses confrères, le médecin qui l'a opéré aurait pratiqué des gestes "brutaux, violents" et "indignes"
Une enquête préliminaire a été ouverte par le parquet de Bourges, dans le Cher, à la suite du décès d'un retraité lors d'une intervention bénigne à la prostate pratiquée, selon sa famille, par un chirurgien-urologue au comportement agressif.
Le patient de 60 ans "en pleine forme", selon sa fille Emilie Latour, était entré le 14 janvier au matin au bloc opératoire du centre hospitalier de Bourges pour une intervention à la prostate, sous anesthésie locale. Il est décédé quelques heures plus tard d'un arrêt cardiaque, après une importante hémorragie. 

Le rapport accablant du personnel opératoire

"Dès son entrée au bloc, le chirurgien était dans un état mental second", a accusé lundi l'avocat de la fille du patient, Me Philippe Courtois, lors d'une conférence de presse. Selon lui, "il ne s'agit pas d'un aléa thérapeutique mais d'un erreur médicale provoquée par des gestes brutaux répétés" de l'urologue. 
Dans un rapport adressé à la direction (et détaillé par Le Parisien), l'anesthésiste avait dénoncé le comportement "agité" du chirurgien et ses gestes "violents" lors de l'intervention pour enlever un nodule à la prostate.
"C'est à nouveau du matériel de merde" aurait-il lancé, avant d'insulter une infirmière. L'intervention est tout de même lancée, aucun autre urologue n'étant présent à ce moment-là pour prendre le relais. 
Un coordinateur du bloc affirme que "le chirurgien n'est pas dans son état normal, inaccessible à tout raisonnement". 
A 16 h 09, après s'être enfoncé lentement et avoir perdu "au moins cinq litres de sang" sous les gestes du médecin, le patient décède. Le chirurgien aurait alors commencé à le "frapper" en criant: "Pourquoi tu m'as fait ça?" et "en se frappant la tête, disant à toute l'équipe": "Vous êtes responsables de cette mort".
L'anesthésiste et les membres de l'équipe médicale se sont réunis après l'intervention. Leur conclusion: "Cette intervention était une véritable 'boucherie' indigne de n'importe quel bloc opératoire", conclut l'anesthésiste dans sa lettre.

La famille sous le choc

Dans un premier temps, rien ne laisse penser à la famille qu'un problème est survenu au bloc.  Interrogée par Le Parisien, Emilie Latour, la fille du patient, explique avoir reçu un appel du chirurgien, lui expliquant que son père avait fait un arrêt cardiaque.
Le retraité a été incinéré, sans qu'une autopsie n'ait pu être réalisée. Ce n'est que par hasard que la famille découvrira quelques semaines plus tard que l'urologue a été suspendu de toute activité au bloc. 
En proie au doute, la famille exige le dossier médical complet et obtient le compte-rendu accablant de l'anesthésiste. Les proches du patient décédé déposent le 3 mars  une plainte pour "homicide involontaire" visant le chirurgien et la direction de l'hôpital. 

L'hôpital ouvre une enquête interne

De son côté, le centre hospitalier a affirmé avoir ouvert "une enquête interne (...) dès que nous avons été informés du décès (...) Tous les éléments de notre enquête ont été transmis au procureur de la République de Bourges, à l'Agence régionale de santé et au Centre national de gestion (qui gère les praticiens hospitaliers)".
http://www.sudouest.fr/2016/04/18/c-etait-une-veritable-boucherie-un-chirurgien-poursuivi-pour-homicide-2334280-4696.php

Montbéliard : le mea culpa du ministre de l’Intérieur après la mort d'un jeune policier anoréxique

Il y avait une tendresse énorme entre le grand-père commandant de police à Montbéliard et le petit-fils. Le second a emboîté le pas au premier en intégrant les rangs de la police. Quand Thomas s’est éteint y a un an, la blessure n’en fut que plus douloureuse pour Pierre Schlatter. Il « ose » penser que si Thomas n’avait pas été policier, la dépression et l’anorexie n’auraient pas déboulé dans la vie de ce garçon emporté de l’autre côté alors qu’il avait seulement 28 ans.

Vaut mieux tard que jamais

Il fallait le dire. Tirer la sonnette d’alarme auprès de la plus haute hiérarchie pour que de jeunes policiers projetés en première ligne dans ce monde brutal « soient accompagnés lorsqu’ils glissent sur la pente dangereuse de la dépression ». Alors Pierre Schlatter a pris sa plume et écrit au ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve. Non pour polémiquer. Seulement pour raconter la descente aux enfers de l’anorexie de ce petit-fils affecté dans une brigade de nuit dans le 19e arrondissement, plusieurs fois blessé en intervention. Thomas voulait effacer ses rondeurs. C’était juste un solide gaillard d’1,81 m pour 93 kilos. Le régime est devenu obsessionnel. Puis piège mortel. Thomas a perdu plus de 50 kilos en deux ans. L’ombre de lui-même. Le courrier est parti.
D’abord il y a eu la réponse, six mois plus tard, d’un chef de cabinet au ministère de l’Intérieur. « Vaut mieux tard que jamais », lâche l’ancien commandant à la retraite et maire de Bart (25). Une réponse impersonnelle. Exempte d’humanité. À aucun moment, il n’est seulement mentionné le prénom de Thomas. Une réponse institutionnelle avec une logorrhée de dates et de mesures prises pour détecter les situations de fragilités individuelles et les dispositifs pour accompagner les fonctionnaires en souffrance, comme le SSPO. Service de soutien psychologique opérationnel. Une réponse, enfin, à côté de la plaque. « Soyez assuré », écrit le chef de cabinet à Pierre Schlatter, « que le ministre continuera à suivre personnellement la question du suicide des membres des forces de sécurité intérieure car chaque fonctionnaire, policier ou gendarme, doit pouvoir trouver l’aide et le soutien nécessaire pour surmonter sa souffrance sans en arriver à commettre l’irréparable en mettant fin à ses jours… »

Les excuses du ministre

Effarement de Pierre Schlatter. « Thomas, mon petit-fils, ne s’est pas suicidé. Sa santé s’est détériorée à cause d’un mal terrible : l’anorexie », précise-t-il par retour du courrier. « Dans le service du 19e à Paris où était affecté Thomas, aucune aide psychologique ne lui a été apportée. Aucun des dispositifs cités dans votre courrier n’a fonctionné. D’ailleurs, combien de policiers connaissent votre SSPO. » Fermez le ban.
Ensuite, il y a eu le courrier écrit et signé, cette fois, par le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve. Sept mois plus tard. Mais, c’est vrai, il vaut mieux tard que jamais ! Le ministre adresse un mea culpa : « Le volume considérable de correspondances traitées au cabinet ne saurait excuser l’approximation. Or force est de constater que cela s’est produit. Je tiens donc, en toute sincérité, à vous présenter mes excuses. » Dans la foulée, Bernard Cazeneuve fait valoir combien il est attaché à ce que les questions de souffrance au travail soient traitées « comme une priorité » ; assure que l’administration n’est pas « restée sourde » aux signaux que certains de ses agents fragilisés peuvent envoyer ; évoque les 23 mesures élaborées depuis début 2015 en ce sens. « Soyez convaincu », écrit-il à Pierre Schlatter, « que ces dispositifs sont actuellement mis en place pour accompagner de très nombreux policiers, sapeurs-pompiers, secouristes qui, comme Thomas, ont été confrontés à des situations périlleuses. Notamment depuis les événements tragiques qui ont marqué l’année 2015 et dont les effets sur chaque personnalité sont à surveiller très étroitement. » Bernard Cazeneuve dit mesurer le chagrin de Pierre Schlatter et comprend ses doutes. « Je m’emploie », conclut-il, « à mobiliser mes services pour que la situation dramatique qu’a vécue Thomas et que partagent certains policiers, fasse l’objet d’une attention vigilante. »
Ça va toujours mieux en le disant. Bien sûr, ça ne cicatrisera jamais la plaie béante provoquée par la perte d’un enfant.

http://www.estrepublicain.fr/edition-belfort-hericourt-montbeliard/2016/04/18/montbeliard-le-mea-culpa-du-ministre-de-l-interieur

dimanche 17 avril 2016

Grave accident de tracteur à Villard-sur-Doron en Savoie

Il était 10h30 dimanche matin lorsqu’un tracteur s’est retourné à Villard-sur-Doron sur la petite route du Manon au lieu-dit Le Cray d’en bas.
L’un des occupants du véhicule a réussi à sortir du véhicule alors que deux autres sont restés coincés de nombreuses minutes avant l’arrivée des pompiers de Savoie.

Assez gravement blessés les trois hommes devraient être médicalisés et héliportés par un hélicoptère de la sécurité civile et un autre de la gendarmerie. L’opération de secours est toujours en cours.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/savoie/grave-accident-de-tracteur-villard-sur-doron-en-savoie-977175.html

Drame familial à Glageon : l'agriculteur était "dépressif depuis plusieurs années"

Bien qu'aucune piste ne soit officiellement écartée, le parquet de Valenciennes en charge de l'enquête confirme ce samedi que la piste de l'infanticide et du suicide reste privilégiée après la découverte vendredi à Glageon (Nord) des corps sans vie de Jean-Luc-Degaigne, un agriculteur de 62 ans, et de son fils Laurent, âgé de 12 ans. Un fusil de chasse avait été retrouvé sur les lieux du drame.

"Les auditions du voisinage ainsi que celles du cercle familial se poursuivent afin de mieux cerner la personnalité de Jean Luc Degaigne et  le contexte familial dans lequel ce drame s'est produit", explique Christophe Delattre, le vice-procureur de Valenciennes. "Jean-Luc Degaigne était dépressif depuis plusieurs années avec phase d'hospitalisation". Il était notamment suivi au Centre Médico-Psychologique de Fourmies, un suivi qu'il ne respectait pas toujours. "Au surplus, il était en très grande précarité financière", ajoute le magistrat. "Il a été placé en redressement judiciaire le 14 avril 2015 sur assignation de la MSA du Nord pas de Calais. Le mandataire judiciaire a sollicité la liquidation judiciaire, laquelle est  intervenue  le 7 juillet 2015. La liquidation judiciaire était motivée  notamment par l'état de santé précaire de l'intéressé  empêchant toute collaboration avec le mandataire et de son état dépressif rendant son redressement manifestement impossible.

C'était un solitaire, il ne parlait pas beaucoup "Eleveur de vaches laitières, Jean-Luc Degaigne approchait de la retraite. "C'était un solitaire, il ne parlait pas beaucoup, nous on croyait même qu'il était en retraite", nous a confié un de ses voisins du hameau de Couplevoie. "On ne le voyait jamais, il ne parlait à personne, il était toujours enfermé dans sa ferme", confirme un autre. La famille Degaigne est installée depuis des générations sur la commune. "Ça va laisser une trace chez nous", estime Bernard Chauderlot, le maire LR de Glageon. "On est un village calme, rural, avec des soucis aussi, mais ça dépasse l'entendement..." .

Selon le parquet, Jean-Luc Degaigne vivait séparé de la mère de ses 7 enfants depuis plusieurs années. C'est l'un de ses autres fils, âgé de 18 ans, qui a fait la macabre découverte vendredi. "Il a été particulièrement choqué", explique Christophe Delattre. "Il a ensuite été admis au centre hospitalier en état de choc. Il y a passé la nuit. Il sera entendu dès sa sortie par le service d'enquête." Les corps des deux victimes ont été transportées à l'institut médico-légal de Lille ou une autopsie est prévue ce lundi. 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/

dimanche 7 février 2016

Mort mystérieuse au bord d'une route de Bourg-Saint-Maurice

Vers 2H du matin, les pompiers ont été appelés par un témoin : un homme, inconscient et avec une importante plaie à la tête, se trouvait au bord de la route du Chatelard, à Bourg-Saint-Maurice. Peu après l'arrivée des secours, l'homme est décédé d'un arrêt cardiaque.

Que faisait-il seul sur cette route en pleine nuit ? Pourquoi cette plaie à la tête ? A-t-il été percuté par une voiture ? En charge de l'enquête, les gendarmes de la brigade de Bourg-Saint-Maurice cherchent des réponses. L'homme aurait pu être victime d'une chute, depuis un talus, à proximité. Agé de 45 ans, il habitait Bourg-Saint-Maurice.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/savoie/mort-mysterieuse-au-bord-d-une-route-de-bourg-saint-maurice-922789.html

La manif «masquée» dégénère en plein centre-ville de Nantes

Près d'un millier de personnes déguisées, 750 selon la préfecture, ont manifesté hier après-midi dans le centre-ville de Rennes contre le projet d'aéroport de Notre-Dame-des-Landes et contre l'état d'urgence, les forces de l'ordre intervenant avec des tirs de grenades lacrymogènes au milieu de la foule des promeneurs du week-end.Plusieurs charges de gendarmes et de CRS se sont succédé pendant deux heures dans divers points du centre-ville de la capitale bretonne avant que le «défilé carnaval» ne soit pratiquement dispersé, en fin d'après-midi. Selon la préfecture, au moins cinq personnes «qui jetaient des projectiles sur les forces de l'ordre», ont été interpellées. Outre des tags et des jets d'œufs, de peinture et de farine, plusieurs vitrines du centre-ville ont été brisées, «principalement des agences bancaires ou d'assurances», a souligné le préfet de la région Patrick Strzoda, tandis que le maire de la ville Nathalie Appéré (PS) condamnait «avec la plus grande fermeté les actes de violence et de vandalisme perpétrés ce samedi après-midi à Rennes». La manifestation a été déclarée, il était prévu qu'elle soit conviviale et festive, a indiqué le préfet.
http://www.ladepeche.fr/article/2016/02/07/2272184-la-manif-masquee-degenere-en-plein-centre-ville-de-nantes.html

samedi 6 février 2016

Un cycliste fauché par un automobiliste ivre, à Saint-Martin-d'Hères

L'accident s'est produit sur le pont enjambant la Rocade sud, au bout de l'avenue Marcel Cachin, à Saint-Martin-d'Hères. Une voiture est venue percuter un cycliste arrivant en sens inverse avant de chuter cinq mètres en contrebas de l'avenue. Le cycliste, âgé de 32 ans, a été hospitalisé dans un état critique, au sein du service de déchocage du CHU de Grenoble.

Légèrement blessé, le conducteur de la voiture, en état d'ébriété, a été placé en garde à vue à l'hôtel de police de Grenoble. 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/isere/un-cycliste-fauche-par-un-automobiliste-ivre-saint-martin-d-heres-922449.html

Grand Montauban : la police enquête sur un marché public contesté

C'est une première. Le service de police judiciaire de Toulouse a confirmé, jeudi soir, à la Dépêche, que des auditions étaient en cours dans ses bureaux. Quelle affaire ? Le SRPJ n'en dira pas plus. Mais l'hypothèse d'une enquête, lancée il y a quelques semaines, est plus que probable. Les policiers travailleraient sur les conditions de passation d'un marché public, concernant la stratégie de communication, commandé par le Grand Montauban, en 2011, de l'ordre de 200 000 €. Un marché dont l'attribution à la société HIMACOM est contestée. Depuis quelques jours, les choses se sont accélérées. Fin janvier, une employée du service des affaires économiques a été entendue en mairie, en présence de ses supérieurs. Elle a été convoquée, jeudi, à Toulouse pour préciser certaines déclarations. Et les policiers n'ont pas fait le voyage à vide, quand ils sont venus à l'hôtel de ville de Montauban, fin janvier. Ils ont récupéré des documents et des données informatiques propres à étancher leur soif de connaissances. A ce stade, aucune mise en examen n'a été prononcée et il convient de rester prudent. D'abord réticente à s'exprimer, Brigitte Barèges, qui n'aurait pas joué de rôle direct mais qui devra assumer en cas de souci, a fait publier un communiqué, hier soir, évoquant… une autre affaire, pour laquelle elle a été mise en examen et qu'elle conteste. On veut parler de l'affaire de l'emploi fictif, toujours à l'instruction. Brigitte Barèges évoque dans son communiqué : «Tout le monde aura bien compris qu'on essaie par-là même d'influencer les magistrats saisis d'une question de pur droit concernant la procédure pénale», écrit-elle en visant ses opposants politiques… Un écran de fumée pour ne pas évoquer une nouvelle affaire, celles des marchés publics dont on attend les suites ?
http://www.ladepeche.fr/article/2016/02/06/2271295-grand-montauban-la-police-enquete-sur-un-marche-public-conteste.html

vendredi 5 février 2016

Les policiers à la rescousse d'une dame disparue.

Dans la nuit du 2 au 3 février, un homme se réveille à 4 heures du matin, et se rend compte de la disparition de sa femme. Il contacte les forces de l'ordre, qui se mettent immédiatement à la recherche de la dame, sans succès. À 7 heures du matin, la patrouille qui prend la relève reprend les recherches sur un périmètre un peu plus élargi. Ils finissent par la retrouver dans une propriété voisine. La veille au soir, elle a fait une chute de 6 mètres. Les policiers la retrouvent avec une plaie de 10 centimètres au crâne, et en hypothermie. Ils ont ensuite contacté le Samu qui l'a pris en charge.
 

Il passe la nuit dans sa voiture à cause de son GPS

Le GPS, c'est bien, mais c'est parfois trompeur. Un Toulousain en a fait l'amère expérience mercredi soir.
Parti de la «Ville rose» en direction d'Aulus-les-Bains, en Ariège, pour rejoindre son fils malade dans un centre de vacances, l'homme s'est retrouvé coincé au Port-de-Lers, à 1 517 mètres, fermé à la circulation à cause de la neige. Il a donc passé la nuit dans son véhicule.
Sauf que ses proches, n'ayant pas de nouvelles, ont alerté la gendarmerie à 23 h 40, mercredi 3 février, dans la soirée. Trois équipes, venues des brigades d'Ax-les-Thermes, Tarascon-sur-Ariège et Massat, se sont lancées à la recherche du «naufragé de la route». Ils ont «fouillé» différents secteurs (col de Latrape, route de Guzet, route de Coufflens, plateau de Beille, entre autres) jusqu'à 4 h 30, ce jeudi matin. Mais sans succès.
Pendant ce temps, l'automobiliste toulousain a attendu le lever du soleil. Il a réussi à faire demi-tour et à redescendre dans la vallée pour demander son chemin.
Peut-être que, la prochaine fois, outre son GPS, il pensera à regarder les panneaux routiers indiquant les cols fermés, ou à préparer son déplacement en se renseignant sur l'état des routes, surtout en hiver et dans un département de montagne
http://www.ladepeche.fr/article/2016/02/05/2270540-passe-nuit-voiture-cause-gps.html

jeudi 4 février 2016

Toulouse : un parpaing lancé sur le pare-brise d'une voiture de police, un policier légèrement blessé

Un policier a été légèrement blessé lors d'incidents avec des jeunes dans la quartier de Bagatelle à Toulouse, dans la nuit de mercredi à jeudi, a-t-on appris de source policière.

Tout a commencé lorsqu'un conducteur a refusé d'obtempérer lors d'un contrôle de police, fonçant sur les fonctionnaires selon cette source. Dans la foulée, un groupe s'est constitué, jetant des projectiles sur la voiture de police, dont un parpaing qui a brisé le pare-brise. Un policier a été légèrement blessé.

Les policiers ont dû faire usage de tirs de flashball et de lacrymogènes pour se dégager.

Le syndicat Unité SGP dénonce les agressions récurrentes des forces de l'ordre à Toulouse, "les refus d'obtempérer qui se traduisent par des tentatives de fuite avec prises de risques inconsidérées", insistant sur l'indispensable "révision des moyens de riposte et des conditions de légitime défense". 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/midi-pyrenees/haute-garonne/toulouse/toulouse-un-parpaing-lance-sur-le-pare-brise-d-une-voiture-de-police-un-policier-legerement-blesse-920455.html

Il arrache l'oreille de son ancien collègue

Un ouvrier agricole de 27 ans a mordu jusqu'à l'arracher l'oreille d'un de ses anciens collègues dimanche à Guémené-Penfao, en Loire-Atlantique, rapporte le journal Ouest France.

C'est au domicile de la victime que la scène a eu lieu. L'homme a d'abord agressé l'un des parents de son ancien collègue avec une bouteille en verre avant de se jeter sur lui et de lui arracher l'oreille. Il a également tenté de l'étrangler.  

Les gendarmes sont très vite arrivés sur place. L'auteur de cet épisode sanglant avait 1,3g d'alcool par litre de sang. L’agresseur a été immédiatement placé en garde à vue, puis présenté mardi au parquet de Saint-Nazaire. Il est désormais incarcéré à la prison de Nantes. 

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

mercredi 3 février 2016

Arles : une fillette de trois ans décède dans un accident de la route

Les faits se sont déroulés hier soir, mardi 2 février, vers 20h, sur la nationale 570 à Pont de Crau. Deux véhicules roulant en sens inverse se sont percutés. Une fillette de 3 ans, éjectée lors de la collision, a perdu la vie. Quatre autres personnes ont été blessées
Hier soir, mardi 2 février, vers 20h sur la commune d'Arles une fillette de 3 ans a perdu la vie dans un accident de la route.
Deux véhicules sont entrés en collision. Quatre autres personnes ont été blessées.
Une enquête a été ouverte pour déterminer les circonstances de l'accident

http://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes/arles-un-enfant-decede-dans-un-accident-de-la-route-919675.html

Biopic de Dalida: La chanteuse incarnée par une Italienne

Sa vie a brûlé sous trop de lumières et elle n’est pas partie dans l’ombre. Le destin de Dalida sera retracé dans un biopic que Pathé devrait distribuer sur les écrans français, l’an prochain, trois décennies après la disparition de l’artiste.
Liza Azuelos (LOL, Une Rencontre…) est chargée de la réalisation de ce film biographique qui verra l’actrice italienne Sveva Alviti incarner le rôle-titre. La cinéaste a fait savoir sur Europe 1 que le tournage débutait cette semaine.

Rouve et Timsit au casting

Jean-Paul Rouve interprétera Lucien Morisse, le premier mari de la chanteuse et Nicolas Duvauchelle le fantasque comte de Saint-Germain. Patrick Timsit et Vincent Perez seront aussi du casting, respectivement dans les rôles de Bruno Coquatrix et Eddie Barclay.
Née en Egypte, Dalida s’est installée en France dans les années 1950 devenant, en 1956, la première chanteuse à recevoir un disque d’or. En plus de trente ans d’une carrière internationale, elle a enchaîné les tubes, de Bambino à Mourir sur scène et Il venait d’avoir 18 ans, tout en s’adaptant aux modes du moment (twist, disco…).
Elle a eu moins de chance dans sa vie privée. Elle ne s’est jamais vraiment remise d’une infection des yeux contractée dans l’enfance et a dû faire face aux suicides de trois de ses amours. Elle s’est elle-même ôté la vie le 3 mai 1984, à l’âge de 54 ans.
http://www.20minutes.fr/culture/1778979-20160203-biopic-dalida-chanteuse-incarnee-italienne

Spectaculaire accident de la circulation hier après-midi

Peu après 16heures sur le boulevard Lacombe. Heureusement plus de peur que de mal mais beaucoup de tôles froissées pour une dame âgée qui, pour des raisons que l'enquête de la brigade accidents d'Albi devra déterminer, a percuté au volant de sa voiture plusieurs véhicules à l'arrêt et rangés en bataille sur cette artère albigeoise. Légèrement blessée, elle a été transportée par les pompiers à l'hôpital.
http://www.ladepeche.fr/article/2016/02/03/2269395-spectaculaire-accident-de-la-circulation-hier-apres-midi.html

mardi 2 février 2016

Vienne : un automobiliste blesse grièvement un piéton et prend la fuite

L'accident s'est produit dans le bourg d'Ayron (Vienne), route de Poitiers vers 7 heures ce mardi matin.
Un piéton âgé d'une cinquantaine d'années a été renversé par un automobiliste qui aurait pris la fuite selon les pompiers.
La victime a été grièvement blessée et transportée au CHU de Poitiers.


http://france3-regions.francetvinfo.fr/poitou-charentes/vienne/vienne-un-automobiliste-blesse-grievement-un-pieton-et-prend-la-fuite-919211.html

Car-jacking à Périgueux : l'automobiliste secourue par deux témoins

Un jeune homme qui s'en était violemment pris à une conductrice a été maîtrisé par des passants. Son procès qui devait se tenir ce lundi a été renvoyé
Placé en garde à vue pas plus tard que la semaine dernière pour conduite d'un scooter sous l'emprise de l'alcool et refus d'obtempérer, un Bordelais de tout juste 24 ans a trouvé le moyen de s'illustrer une nouvelle fois ce week-end avec une tentative de car-jacking. Dans la nuit de samedi à dimanche, peu avant 3 heures du matin, l'homme en état d'ivresse s'en est pris à une automobiliste qui tentait de sortir du parking de la place Bugeaud, en plein centre-ville de Périgueux.
La conductrice venait tout juste de baisser sa vitre et d'ouvrir sa portière pour insérer son ticket dans la borne de sortie. Lui, en a profité pour se jeter sur la jeune femme et tenter de l'extraire de l'habitacle en la menaçant. Malgré les intimidations répétées, la propriétaire du véhicule a résisté et réussi à rentrer à l'intérieur de la voiture. Mais c'était compter sans la détermination de son agresseur, qui a profité de la vitre ouverte pour la saisir à pleines mains par les cheveux.

Il devait comparaître ce lundi

En apercevant la scène, un piéton et un automobiliste, qui descendaient chacun de leur côté les boulevards, ont accouru vers le véhicule et réussi à maîtriser le jeune homme. Placé en garde à vue aussitôt après son interpellation par la police, l'auteur de la tentative de car jacking devait comparaître ce lundi après-midi devant le tribunal correctionnel en comparution immédiate. L'audience a finalement été renvoyée au 7 mars. Un mandat de dépôt a été délivré, le suspect restera donc en détention jusqu'à son procès.
http://www.sudouest.fr/2016/02/01/car-jacking-a-perigueux-l-automobiliste-secourue-par-deux-temoins-2260147-1980.php

Un octogénaire enfermé dans les toilettes publiques

Alors qu'il venait de sortir de l'hôpital où il avait passé la nuit pour des examens de santé approfondis, un Bératais de 89 ans faisait une petite halte jeudi dernier vers 16h45 dans les toilettes publiques de Rieumes. Le temps d'un petit besoin, il voulut quitter les lieux mais s'y retrouva enfermé. Ce ne fut qu'au bout d'un long moment qu'une personne circulant à l'extérieur, se demandant d'où venaient ses appels désespérés, se rapprocha de lui en l'assurant qu'il allait se rendre à la mairie pour lui faire ouvrir la porte. Ce qui fut fait au bout d'une longue demi-heure durant laquelle l'octogénaire dût attendre debout que l'on vienne enfin le sortir de ce mauvais pas. Notre infortuné rentra alors chez lui tout heureux de retrouver un endroit plus confortable et plus accueillant pour se reposer et libérer ses angoisses. Le lendemain, le secrétariat de mairie a donné une explication où le vieux monsieur s'est entendu dire qu'il devait être sourd parce qu'avant de fermer les toilettes à 17 heures, l'agent municipal en charge de le faire aurait demandé s'il n'y avait personne. Une explication qui ne l'a pas convaincu, et lui a fait suggérer d'afficher désormais les horaires d'ouverture et de fermeture de ces toilettes publiques afin que d'autres utilisateurs ne se retrouvent pas dans la même situation ou dans des situations plus graves que lui (personnes malades, handicapées, enfants, etc.).
En attendant, le courageux Bératais n'oublie pas de remercier les deux personnes qui se sont portées à son secours.
http://www.ladepeche.fr/article/2016/02/02/2268566-un-octogenaire-enferme-dans-les-toilettes-publiques.html

Du cannabis, une arme et plus d'une centaine de munitions

Les policiers ont interpellé deux hommes, dimanche soir, dans le secteur du Mirail à Toulouse. Ils venaient de conclure une transaction de drogue. Au cours de l'exploration de l'immeuble, les fonctionnaires ont mis la main sur plus d'une centaine de munitions.
Les policiers ne pensaient pas faire une telle découverte en surveillant, dimanche soir, un dealer et son client. Peu avant minuit, au terme d'une planque du côté de l'impasse de Londres, dans le secteur de la Reynerie, bien connu pour être un haut lieu de deal, les hommes de la BAC Mirail ont assisté en toute discrétion à une transaction, argent contre cannabis, entre deux hommes.
Aussitôt, les fonctionnaires sont intervenus et ont interpellé les deux protagonistes. Sur eux, ils ont découvert une quarantaine de grammes de cannabis ainsi qu'un peu plus de 200 €.

357 Magnum Barracuda chargé

Dans la foulée, les policiers ont procédé à une fouille poussée des parties communes de l'immeuble. Et ils étaient loin de s'attendre à ce qu'ils ont découvert. Soigneusement emballé dans un sac plastique, au niveau d'une gaine technique, ils ont mis la main sur une arme de poing, un revolver 357 Magnum Barracuda chargé de six balles. Les fonctionnaires ont également trouvé plus d'une centaine de cartouches de calibre 9 millimètres.
Résine de cannabis, herbe mais aussi cocaïne complètent la liste des stupéfiantes découvertes des policiers.

Enquête

L'acheteur comme le vendeur présumé ont été interpellés. Ces garçons âgés de 25 ans et 32 ans ont été conduits au commissariat central où ils ont été placés en garde à vue. Hier, seul le vendeur s'y trouvait toujours. Les policiers de la sûreté départementale en charge de l'enquête tentaient de déterminer, hier, s'il était au courant de la présence de cette arme et de ces munitions à cet endroit.
Des perquisitions sont réalisées très souvent par les services de police à Toulouse, notamment dans des caves, en zones de sécurité prioritaire. Régulièrement, ils mettent la main sur des produits stupéfiants mais également sur des armes. La lutte contre ces trafics est l'une des priorités fortes des forces de l'ordre.

http://www.ladepeche.fr/article/2016/02/02/2268664-cannabis-arme-plus-centaine-munitions.html